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https://doi.org/10.11588/diglit.22264#0434
340
Anmerkungen.
zu sein, gebildet nach der Weise von Kanärang, ö XavaQÖ.yyr\g.
S. Nöldeke, Tabari 442 Note; Thomas von Marga ed. Budge
2, 328 N. 2 (von Hflm. herrührend); P. de Lagarde, Gesammelte
Abhandlungen 193, 30 ff. Die scheinbare Etymologie ist U/
(kanä) „Land" und (rang) „Herr". Letzteres bedeutet als
Endung auch „ähnlich"; folglich könnte der Spitzname v.kt-
tOQQdyyng „katzenähnlich", „katzenartig", d. h. „diebisch",
bedeuten. Die Metathesis des o in der Schreibung könnte
nicht auffallen, vgl. goo^ocuj. Hffm.
109, 21. Vgl. Mich. Syr. (zu 104, 22): un general armenien,
und Bar Hebr. Chron. Syr. 77: ein Häuptling der Armenier.
109, 28. Jos. Styl. 53 p.43: „That the Persians who remained
might not be annoyed by the smell of the dead bodies of the
Amidenes, they carried them out and piled them up in two
heaps outside of the north gate. The number of those who were
carried out by the north gate was more than 80000; besides
those whom they led forth alive and stoned outside the city,
and those whom they stabbed on the top of the mule that
they had constructed, and those who were thrown into the Tigris
[Deklatk], and those who died by all sorts of deaths, regarding
which we are unable to speak." Joh. Eph. Nau ROChr 2, 51
(vgl. 463 f.) bringt zum Jahre 814 (503) noch ein interessantes
Detail: „Kaväd prit Amid et Theodosiopolis, dont il tua ou
enimena en captivite les habitants. A Amid, il sortit 85 000
morts par la porte du Nord, sans parier de ceux qui sortirent
par les autres portes et furent jetes dans les citernes et aque-
ducs ou furent enterres dans l'interieur de la ville. Dans l'ecole
des Ourteens pendant que tous les moines du monastere de
Saint Jean des Ourteens (vgl. zu 107, 14) faisaient l'office (des
morts), deux soldats entrerent, en tuerent quatre-vingt-dix et
emmenerent le reste en captivite. Cette meme anne'e, les
Grecs (Romains) et les Perses combattirent ä Tell-Besme et les
Grecs (Romains) furent vaincus etc."
110, 3. Hiernach Mich, in Fortsetzung der zu 104, 22
zitierten Stelle 174, 21—26: „Le roi, en entrant dans cette cathe-
drale, vit lä l'image du Sauveur et dit: „Qu'est (ce) que represente
cette figure?" „Leur divinite", lui fut-il repondu. — C'est lui
meme qui m'etant apparu, reprit-il, me recommenda de ne
pa*s ni'eloigner de la ville, parce qu'il allait me la livrer;
ainsi ce n'est pas moi, mais c'est leur Dieu, qui ä cause de
leurs peches a remis cette cite en mon pouvoir."
110, 7. Vgl. 107, 8.
110, 11. Dieser Ishak bar Bari wird auch von Joh.
Eph. Comm. 69, 13 erwähnt: vir fuerat magnificus et fasti-
diosus, a puero regie educatus, natus genere Arsacidarum,
Anmerkungen.
zu sein, gebildet nach der Weise von Kanärang, ö XavaQÖ.yyr\g.
S. Nöldeke, Tabari 442 Note; Thomas von Marga ed. Budge
2, 328 N. 2 (von Hflm. herrührend); P. de Lagarde, Gesammelte
Abhandlungen 193, 30 ff. Die scheinbare Etymologie ist U/
(kanä) „Land" und (rang) „Herr". Letzteres bedeutet als
Endung auch „ähnlich"; folglich könnte der Spitzname v.kt-
tOQQdyyng „katzenähnlich", „katzenartig", d. h. „diebisch",
bedeuten. Die Metathesis des o in der Schreibung könnte
nicht auffallen, vgl. goo^ocuj. Hffm.
109, 21. Vgl. Mich. Syr. (zu 104, 22): un general armenien,
und Bar Hebr. Chron. Syr. 77: ein Häuptling der Armenier.
109, 28. Jos. Styl. 53 p.43: „That the Persians who remained
might not be annoyed by the smell of the dead bodies of the
Amidenes, they carried them out and piled them up in two
heaps outside of the north gate. The number of those who were
carried out by the north gate was more than 80000; besides
those whom they led forth alive and stoned outside the city,
and those whom they stabbed on the top of the mule that
they had constructed, and those who were thrown into the Tigris
[Deklatk], and those who died by all sorts of deaths, regarding
which we are unable to speak." Joh. Eph. Nau ROChr 2, 51
(vgl. 463 f.) bringt zum Jahre 814 (503) noch ein interessantes
Detail: „Kaväd prit Amid et Theodosiopolis, dont il tua ou
enimena en captivite les habitants. A Amid, il sortit 85 000
morts par la porte du Nord, sans parier de ceux qui sortirent
par les autres portes et furent jetes dans les citernes et aque-
ducs ou furent enterres dans l'interieur de la ville. Dans l'ecole
des Ourteens pendant que tous les moines du monastere de
Saint Jean des Ourteens (vgl. zu 107, 14) faisaient l'office (des
morts), deux soldats entrerent, en tuerent quatre-vingt-dix et
emmenerent le reste en captivite. Cette meme anne'e, les
Grecs (Romains) et les Perses combattirent ä Tell-Besme et les
Grecs (Romains) furent vaincus etc."
110, 3. Hiernach Mich, in Fortsetzung der zu 104, 22
zitierten Stelle 174, 21—26: „Le roi, en entrant dans cette cathe-
drale, vit lä l'image du Sauveur et dit: „Qu'est (ce) que represente
cette figure?" „Leur divinite", lui fut-il repondu. — C'est lui
meme qui m'etant apparu, reprit-il, me recommenda de ne
pa*s ni'eloigner de la ville, parce qu'il allait me la livrer;
ainsi ce n'est pas moi, mais c'est leur Dieu, qui ä cause de
leurs peches a remis cette cite en mon pouvoir."
110, 7. Vgl. 107, 8.
110, 11. Dieser Ishak bar Bari wird auch von Joh.
Eph. Comm. 69, 13 erwähnt: vir fuerat magnificus et fasti-
diosus, a puero regie educatus, natus genere Arsacidarum,