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https://doi.org/10.11588/diglit.28023#0362
25 4 S A G G I O S O p R A
ella faceva alle dottrine inglesi che pur
da’più giovani introdur si volevano a quel
tempo neir accademia , si direbbe, che co-
me alla conservazione dell’antico pomericr
di Roma vegliavano altre vplte gii auguri,
lo stesso facevano in Francia quei vecchj
druidi, perchè il pomerio della illosofia non
si estendesse al di là dei termini che vi
avea posto il Cartesio , tenuto da esso lo-
ro come fondatore di quella.
Deila causa poi delìa gravità, dedotta
anch.’
ejui n est pas aujour'd' hui trop nomhrense »
est volontiers intolérante , comrne hien des
sectes opprirnèes ou negligées : peu s'en faut
fpiC elle ne décrìe ses ad/versaires, comme de
mauvais citoyens insensihles à la gloire de
leur nation.
M. d’ Alembert daris I’ éloge de M. 1’ abbê
Terasson.
II est vray cjue le carlesianisrne n est plus
interdit aujourd' huy ni persécutê comme au-
trefois ; il esl souffert ; peut-être est-il pro-
têgé, et peut-étre faut-il eju il le soit à cer-
tains ègàrds.
M. de Mairan dans 1’ éloge de l'abbè de Mo-
lieres.
ella faceva alle dottrine inglesi che pur
da’più giovani introdur si volevano a quel
tempo neir accademia , si direbbe, che co-
me alla conservazione dell’antico pomericr
di Roma vegliavano altre vplte gii auguri,
lo stesso facevano in Francia quei vecchj
druidi, perchè il pomerio della illosofia non
si estendesse al di là dei termini che vi
avea posto il Cartesio , tenuto da esso lo-
ro come fondatore di quella.
Deila causa poi delìa gravità, dedotta
anch.’
ejui n est pas aujour'd' hui trop nomhrense »
est volontiers intolérante , comrne hien des
sectes opprirnèes ou negligées : peu s'en faut
fpiC elle ne décrìe ses ad/versaires, comme de
mauvais citoyens insensihles à la gloire de
leur nation.
M. d’ Alembert daris I’ éloge de M. 1’ abbê
Terasson.
II est vray cjue le carlesianisrne n est plus
interdit aujourd' huy ni persécutê comme au-
trefois ; il esl souffert ; peut-être est-il pro-
têgé, et peut-étre faut-il eju il le soit à cer-
tains ègàrds.
M. de Mairan dans 1’ éloge de l'abbè de Mo-
lieres.