^4 L’ M T T æ R 56
îes m' amuseni . Js aime assez c© RaLelaîâ
d* Angleterre , principalement lorsqu5 il est
bien inspiré par la satire, et qu* il s’ aban-
donne a son imagination .
Adieu, cher Algarotti, n’ oubliez point
ceux que vous avez charmés à Remusberg
par YÔtre presence, et soyez persuadé de
F estime perfaite avec la quelle je suis vô-
îre tres - afsectionné amî.
ïC40ifC + 0»0+0+0^0»C40»CtC^
IV.
à Berlîn ce a6 de Fevrîer ij4Qe
JVlon cher Algarotti, je ne sai quelle
peut étre la raison que vous ns avez point
reçu ma lettre . II y a près d’ un mois que
je vous ai ecrit . J’ ai été depuis ce tems
attaqué d’ une fîevre assez forte , et d’ une
colique trés douloureuse , ce qui m’ a em«
pêchè de répondre à mylord Baltimore. J'
ai cependant travaîllé autant qu’ il m’ a été
possible; de façon que mon Anti-Machia-
vel est acheyè, et que je compte de vou&
r qu?
îes m' amuseni . Js aime assez c© RaLelaîâ
d* Angleterre , principalement lorsqu5 il est
bien inspiré par la satire, et qu* il s’ aban-
donne a son imagination .
Adieu, cher Algarotti, n’ oubliez point
ceux que vous avez charmés à Remusberg
par YÔtre presence, et soyez persuadé de
F estime perfaite avec la quelle je suis vô-
îre tres - afsectionné amî.
ïC40ifC + 0»0+0+0^0»C40»CtC^
IV.
à Berlîn ce a6 de Fevrîer ij4Qe
JVlon cher Algarotti, je ne sai quelle
peut étre la raison que vous ns avez point
reçu ma lettre . II y a près d’ un mois que
je vous ai ecrit . J’ ai été depuis ce tems
attaqué d’ une fîevre assez forte , et d’ une
colique trés douloureuse , ce qui m’ a em«
pêchè de répondre à mylord Baltimore. J'
ai cependant travaîllé autant qu’ il m’ a été
possible; de façon que mon Anti-Machia-
vel est acheyè, et que je compte de vou&
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