l4° L E T T E R E
répétition quî s’ est faite même hier au
soir) n’a pas permis de copier le cahier
que j’ai 1’honneur d’envoyer à V. M. et
où il a été nécessaire de faire des corre-
ctions ce matin. Y. M. aura la bonté de
le faire renvoyer avec ses ordres ultérieurs,
et les corrections qu’ elle jugera nécessai-
res ahn que le poète puisse proceder à la
versihcation: il a déjà commencé à y met-
tre la main. Je lui ai fait sentir au xni-
lieu de ses catharres et de ses huxions que
l’ame et la célérité de César doivent pas»
ser autant qu’ il est possible dans ses ser-
viteurs. Je suis au désespoir, Sire, que Ia
santé de V. M. ne réponde pas tout à fait
à nos vœux, quoique j’espere, Sire, qu’a
présent elle sera rétablie. V. M. ne saît
peut-étre pas ( qu’elle me permette de le
lui dire ) combien cette santé est nécessai-
re au progrès des arts et des sciences, à
la gloire de sa nation, au bonheur de 1
Europe . Au nom de tout cela, Sire, je
supplie V. M. d’ en avoir ce soin qui soit
proportionné à la conservation d’ une santé
aussi préoieuse. M. Schmidt que je viens
de voir, est après les planches qui doivent
orner
répétition quî s’ est faite même hier au
soir) n’a pas permis de copier le cahier
que j’ai 1’honneur d’envoyer à V. M. et
où il a été nécessaire de faire des corre-
ctions ce matin. Y. M. aura la bonté de
le faire renvoyer avec ses ordres ultérieurs,
et les corrections qu’ elle jugera nécessai-
res ahn que le poète puisse proceder à la
versihcation: il a déjà commencé à y met-
tre la main. Je lui ai fait sentir au xni-
lieu de ses catharres et de ses huxions que
l’ame et la célérité de César doivent pas»
ser autant qu’ il est possible dans ses ser-
viteurs. Je suis au désespoir, Sire, que Ia
santé de V. M. ne réponde pas tout à fait
à nos vœux, quoique j’espere, Sire, qu’a
présent elle sera rétablie. V. M. ne saît
peut-étre pas ( qu’elle me permette de le
lui dire ) combien cette santé est nécessai-
re au progrès des arts et des sciences, à
la gloire de sa nation, au bonheur de 1
Europe . Au nom de tout cela, Sire, je
supplie V. M. d’ en avoir ce soin qui soit
proportionné à la conservation d’ une santé
aussi préoieuse. M. Schmidt que je viens
de voir, est après les planches qui doivent
orner