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https://doi.org/10.11588/diglit.28093#0191
I N E D I T E . l83
re ressentir quelque bénéfice, mon cœur
vole aux pieds de Y. M. J’ y serai bientôt
moi même, et seconderai ses mouvemens.
Y. M. verra elle même et jugera mon
état. Je crains bien, Sire , que Y. M. ne
saura que faire d’ un homme qui ne peut
être pour ainsi dire au ton des autres. Ge
qui doit me consoler en toute chose, c’
est que je suis attaché non pas à un hom-
me roi, înais à un roi homnie ; comme
a dit m. Chesterfield de Y. M.
J’ attends toujours après les ordres dont
V. M. vouioit rne charger touchant les
agathes ; et serai charmé de sayoir si les
boutargues ont réussi, afin d’ en comman-
der et d’ en ayoir toujours de la même
aspèce .
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M 4
re ressentir quelque bénéfice, mon cœur
vole aux pieds de Y. M. J’ y serai bientôt
moi même, et seconderai ses mouvemens.
Y. M. verra elle même et jugera mon
état. Je crains bien, Sire , que Y. M. ne
saura que faire d’ un homme qui ne peut
être pour ainsi dire au ton des autres. Ge
qui doit me consoler en toute chose, c’
est que je suis attaché non pas à un hom-
me roi, înais à un roi homnie ; comme
a dit m. Chesterfield de Y. M.
J’ attends toujours après les ordres dont
V. M. vouioit rne charger touchant les
agathes ; et serai charmé de sayoir si les
boutargues ont réussi, afin d’ en comman-
der et d’ en ayoir toujours de la même
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