ï N £ D I T E .
2 77
D E L C O N T E
ALGAROTTl
XVI.
à Boulogne ce zrj de Mars ij5g.
MONSEIGNEUR
II y a bîen des années, Monseigneur,
que je n ai poînt reçu des lettres de m,
Bianconi, et s ai été bîen éloigné cle re-
nouveller correspondance avee lui dans les
circonstances presentes. II m’ a fait pour-
tant savoir drernièrement, Monseigneur,
par le canaï de sa famllie qui est ici, la
maniere gracieuse dont il a plu à V. A, R.
de parler de moi. II me seroit impossible,
Monseigneur, de dire combien s ai été pé-
netré de reconnoissance. Mais que dirois.
je au sujet de la lettre dont Y. A. R,
vîent de rn’ honorer ? A' la veille des plus
grands exploits que nous voyons mainte-
nant éclorre, souhaiter de me revoir, c est
le comble pour moï de ma gloire. Tan-
S 5 dis,
2 77
D E L C O N T E
ALGAROTTl
XVI.
à Boulogne ce zrj de Mars ij5g.
MONSEIGNEUR
II y a bîen des années, Monseigneur,
que je n ai poînt reçu des lettres de m,
Bianconi, et s ai été bîen éloigné cle re-
nouveller correspondance avee lui dans les
circonstances presentes. II m’ a fait pour-
tant savoir drernièrement, Monseigneur,
par le canaï de sa famllie qui est ici, la
maniere gracieuse dont il a plu à V. A, R.
de parler de moi. II me seroit impossible,
Monseigneur, de dire combien s ai été pé-
netré de reconnoissance. Mais que dirois.
je au sujet de la lettre dont Y. A. R,
vîent de rn’ honorer ? A' la veille des plus
grands exploits que nous voyons mainte-
nant éclorre, souhaiter de me revoir, c est
le comble pour moï de ma gloire. Tan-
S 5 dis,