L E T T E R E
512
D E L P R I IV C I P E
FERDINANDG
VII.
mi Qiiartier de Croffdorss ce 4 Octobre
MONSIEUR
>Je suis infiniment sensi'ble aux marques
de vôtre souvenir, et de vôtre amitié, que
vous me donnéz à cônnoitre par vôtre let-
sre clu 21 d’Aoiit, qui m’ est parvenue,
il y a quelques jours. Piecevez - en, Mon-
sîeur, mes bien sincers remerciments. Je
ne puis repondre à tout 1’ obligeant, et à
tout le poli, que vous me dites, au sujeü
de F heureux succès de la journée du i
d’ Aoiit, pour les armes Britanniques en
Àllemagne. J’ai été térnoin oculaire, avec
une satisfaction. înexprimable mêlée d’ é-
tonnement, des prodiges de fermeté, et
de courage de cetîe valeureuse nation Bri-
tannique. G’ est à Elle, et nommement à
leui’ infanterie, que les louanges sont dûes,
Les
512
D E L P R I IV C I P E
FERDINANDG
VII.
mi Qiiartier de Croffdorss ce 4 Octobre
MONSIEUR
>Je suis infiniment sensi'ble aux marques
de vôtre souvenir, et de vôtre amitié, que
vous me donnéz à cônnoitre par vôtre let-
sre clu 21 d’Aoiit, qui m’ est parvenue,
il y a quelques jours. Piecevez - en, Mon-
sîeur, mes bien sincers remerciments. Je
ne puis repondre à tout 1’ obligeant, et à
tout le poli, que vous me dites, au sujeü
de F heureux succès de la journée du i
d’ Aoiit, pour les armes Britanniques en
Àllemagne. J’ai été térnoin oculaire, avec
une satisfaction. înexprimable mêlée d’ é-
tonnement, des prodiges de fermeté, et
de courage de cetîe valeureuse nation Bri-
tannique. G’ est à Elle, et nommement à
leui’ infanterie, que les louanges sont dûes,
Les