Ol8 L E. T T E n E
jüux née sera ache?é, je vous V enverrai
pareilieroent, Rendez-moi, Monsîeur, îa
justice d’ être persuadé que je ne discon-
tînuerai d’ être avec V estime la plus di-
stinguée.
*C*G*0*0 + 0*0*0*0*0*0*0*G*
I) E L C O N T E
ALGAROTTÏ
XI.
â Boulogne ce iz de Janvier 1760.
MONSEIGNEUR
Je prends îa liberté, Monseigneur, d’en-
voyer à V. A. S. un échantillon, de Ma-
raschino de Zara. Je crois qu’ii pourra te*
rxir lieu de chocolat durant une saîson que
V. A. S. sait brayer aussi bien, que tous
les dangers cle ia guerre. II ne manquoît
pour le comble de la gloire de Y. Â. S.
c]ue ce qu' elle vient de faire. Détacher
uii gros corps de son armée, en îe con-
fiant
jüux née sera ache?é, je vous V enverrai
pareilieroent, Rendez-moi, Monsîeur, îa
justice d’ être persuadé que je ne discon-
tînuerai d’ être avec V estime la plus di-
stinguée.
*C*G*0*0 + 0*0*0*0*0*0*0*G*
I) E L C O N T E
ALGAROTTÏ
XI.
â Boulogne ce iz de Janvier 1760.
MONSEIGNEUR
Je prends îa liberté, Monseigneur, d’en-
voyer à V. A. S. un échantillon, de Ma-
raschino de Zara. Je crois qu’ii pourra te*
rxir lieu de chocolat durant une saîson que
V. A. S. sait brayer aussi bien, que tous
les dangers cle ia guerre. II ne manquoît
pour le comble de la gloire de Y. Â. S.
c]ue ce qu' elle vient de faire. Détacher
uii gros corps de son armée, en îe con-
fiant