558 L E T T E R E
dons qu’ en les employant à faire ma cotir
à Y. £. et à puiser chez eîle ce que je
chercherois en vain partout ailleurs, et ce
que Paris ne sauroit assez regretter. La
plus vive reconnoissance se mêie plus que
jamais à tous les sentimens qui sont dus
à V. E. et sur tout au profond respect
avec le quel j’ ai l’ honneur etc.
O k O k O ★ O k O k O ★ O ★ O * O ★ O ★ O ★ O *
D E L CARDÏNALE
D E B E R N I S
lï.
à Fiesso ce 5 d’ Aoiit iy54«
yus rne faites grande pitié, Monsieur?
d’ étre obligé à garder un régime si auste«
re ; cependant je desire que vôtre conva-
iescence soit un peu longue, Je suis très-
aise que mes pressentimens ayent été ju-
stihés, et que le Rox de Prusse yeuill©
bien entrer si honnétement dans îes bon-
nes raisons que yous avez de rester enco-
re
dons qu’ en les employant à faire ma cotir
à Y. £. et à puiser chez eîle ce que je
chercherois en vain partout ailleurs, et ce
que Paris ne sauroit assez regretter. La
plus vive reconnoissance se mêie plus que
jamais à tous les sentimens qui sont dus
à V. E. et sur tout au profond respect
avec le quel j’ ai l’ honneur etc.
O k O k O ★ O k O k O ★ O ★ O * O ★ O ★ O ★ O *
D E L CARDÏNALE
D E B E R N I S
lï.
à Fiesso ce 5 d’ Aoiit iy54«
yus rne faites grande pitié, Monsieur?
d’ étre obligé à garder un régime si auste«
re ; cependant je desire que vôtre conva-
iescence soit un peu longue, Je suis très-
aise que mes pressentimens ayent été ju-
stihés, et que le Rox de Prusse yeuill©
bien entrer si honnétement dans îes bon-
nes raisons que yous avez de rester enco-
re