îhedite; S3§
re quelque tems dans vôtre patrie. Le-
congé illimité que vous avez obtenu, ne
ine fait plus craindre de vous perdre. L©
plaisxr de vous posseder quelquefois â Ye-
nise est le pïus grand que j'5 espére cet hi-
ver; faites m’en jouir ie plus souvent que
vous pourez. Retranchons, je vous en prie,
dans nôtre petite correspondance le très-
humble servheur de lu ftn. J’ écris cin-
quante oti soixante fois par semaine cette
platitude ; jugez s’ il ne me doit pas étre
agréable de pouvoir la retrancher avec ceux
dont je suis véritablement le serviteur, I
admirateur et !’ ami,
Y 2
re quelque tems dans vôtre patrie. Le-
congé illimité que vous avez obtenu, ne
ine fait plus craindre de vous perdre. L©
plaisxr de vous posseder quelquefois â Ye-
nise est le pïus grand que j'5 espére cet hi-
ver; faites m’en jouir ie plus souvent que
vous pourez. Retranchons, je vous en prie,
dans nôtre petite correspondance le très-
humble servheur de lu ftn. J’ écris cin-
quante oti soixante fois par semaine cette
platitude ; jugez s’ il ne me doit pas étre
agréable de pouvoir la retrancher avec ceux
dont je suis véritablement le serviteur, I
admirateur et !’ ami,
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