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îj Ë T T E R, È
VI.
à Parme ce 3i de Mars 1761.
\ôtre complaisance éterneile vous fait es-
sujer sans cesse de ma part des Importu-
nités : .mais vous aimez le bien public et
îes bonnes vües ; et voiîa ce qui me rend
opiniâtre. Daignez donc encore m’ écouter
sur ce que F abbé Frugoni a eu F honneur
de vous écrire : quoiqu’il soit lumineitXj,
je ne sais s’ il vous aura rendu îoute mon
îdée : la voici.
J’ ai deux objets : F un d’ empécher !e
plus qti’ il est possible le mal que nous
font îes eaux ; F autre de tirer de ce poi-
son un objet salutaire, en tournant touü
ce qui se pourra ea utilité, et en ramas-
sant des eaux que nous avons éparses et
perdues, les réunissant pour Futilité, aug-
mentant les moyens d’arrosemens, les mou-
tures, et procurant, si je le puis, des fins
encore plus étendus, et plus utiles. Nous
avons des lasunes ou des xnarais à Guastai-
la;
îj Ë T T E R, È
VI.
à Parme ce 3i de Mars 1761.
\ôtre complaisance éterneile vous fait es-
sujer sans cesse de ma part des Importu-
nités : .mais vous aimez le bien public et
îes bonnes vües ; et voiîa ce qui me rend
opiniâtre. Daignez donc encore m’ écouter
sur ce que F abbé Frugoni a eu F honneur
de vous écrire : quoiqu’il soit lumineitXj,
je ne sais s’ il vous aura rendu îoute mon
îdée : la voici.
J’ ai deux objets : F un d’ empécher !e
plus qti’ il est possible le mal que nous
font îes eaux ; F autre de tirer de ce poi-
son un objet salutaire, en tournant touü
ce qui se pourra ea utilité, et en ramas-
sant des eaux que nous avons éparses et
perdues, les réunissant pour Futilité, aug-
mentant les moyens d’arrosemens, les mou-
tures, et procurant, si je le puis, des fins
encore plus étendus, et plus utiles. Nous
avons des lasunes ou des xnarais à Guastai-
la;