I ÎC E D I T E .
3^5
XI.
\oUS avez très-bien fait de dïsposer des
seuilles pour m. Archinto que j’ ai F hon-
neur de connoitre, et que je réyére : dis-
posez de tout cela à yôtre goût. Au reste
Freron est un horume acre, plein de pas-
sion : mais cela n’ a pas de danger pour
les personnes qui jugent sainement par el-
les mêmes.
Je vous prie de remercier vivement Ie
p. Frisi; je Faime et Festime, sans le con-
noitre, et je ne suis pas digne de juger
tout ce qu’ il vaut : le cri public et vôtre
voix suppléent à mon ignorance. Je sens
ses raisons, il doit des ménagemens à sa
patrie, au comte de Firmian qui m’est
cher, à Pise, à la Toscane, à m. le ma-
réchal Botta, enfih aux distinctions glo-
rieuses de S. A. R. F archiduc Joseph.
Vous sentez qu’ au milieu de tout cela
)’ agis vis à vis de lui autant qu’ il m’ est
permis, sans le faire manquer à aucun de-
voir, et sans manquer moi-même à îant
d@ noms respectables. II ne yeut pas avoir
Aa 4 mau-
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XI.
\oUS avez très-bien fait de dïsposer des
seuilles pour m. Archinto que j’ ai F hon-
neur de connoitre, et que je réyére : dis-
posez de tout cela à yôtre goût. Au reste
Freron est un horume acre, plein de pas-
sion : mais cela n’ a pas de danger pour
les personnes qui jugent sainement par el-
les mêmes.
Je vous prie de remercier vivement Ie
p. Frisi; je Faime et Festime, sans le con-
noitre, et je ne suis pas digne de juger
tout ce qu’ il vaut : le cri public et vôtre
voix suppléent à mon ignorance. Je sens
ses raisons, il doit des ménagemens à sa
patrie, au comte de Firmian qui m’est
cher, à Pise, à la Toscane, à m. le ma-
réchal Botta, enfih aux distinctions glo-
rieuses de S. A. R. F archiduc Joseph.
Vous sentez qu’ au milieu de tout cela
)’ agis vis à vis de lui autant qu’ il m’ est
permis, sans le faire manquer à aucun de-
voir, et sans manquer moi-même à îant
d@ noms respectables. II ne yeut pas avoir
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