Ê2 Lettere
Sossvenez vous de votre parole pour le mois-
d’ août , et ayez robur et œs triplex pour
vous défendre de Maupertuis et du Pôle ,
On me mande qu’ ils commencent à se dé*
goûter de leür voyage ; ce qui est sûr c’
est qu’ils le sont de moi l’un et l’autre,
car je n’ai pas oui parler d’eux depuis les
lettres que vous leur avez envoyées pour
jiîoi ; me voila brouillée avec le Pôle arcti-
que et le Pôle antarctique. Je ne sais pas
trop pourquoi. J’ ai répondu à la lettre que
vous in’avez envoyée de l’abbé Franchini
par une lettre bien triste, mais la premie-
re fois que j’aurai de l’imagination, je ré-
parerai cela . »
Mandez moi si vous avez vû rriad. de
s. Pierre et mad. de Richelieu. D’Argen-
tal me paroit enchanté de vous ; il est
digne de vous plaire et de vous aimer j
c’est un ami eharmant: parlez de moi en-
semble, je vous supplie. On a envoyé des
corrections ; je ne sais trop comment on
a arrangé tout cela, mais j’espere, si nous
avons mlle. du Fresne pour Alzire, que
cela sera bien reçu . Adieu, monsieur ; il
est impossible d’être plus aimé et plus re-
gretté que vous l’ êtes â Cirey .
Sossvenez vous de votre parole pour le mois-
d’ août , et ayez robur et œs triplex pour
vous défendre de Maupertuis et du Pôle ,
On me mande qu’ ils commencent à se dé*
goûter de leür voyage ; ce qui est sûr c’
est qu’ils le sont de moi l’un et l’autre,
car je n’ai pas oui parler d’eux depuis les
lettres que vous leur avez envoyées pour
jiîoi ; me voila brouillée avec le Pôle arcti-
que et le Pôle antarctique. Je ne sais pas
trop pourquoi. J’ ai répondu à la lettre que
vous in’avez envoyée de l’abbé Franchini
par une lettre bien triste, mais la premie-
re fois que j’aurai de l’imagination, je ré-
parerai cela . »
Mandez moi si vous avez vû rriad. de
s. Pierre et mad. de Richelieu. D’Argen-
tal me paroit enchanté de vous ; il est
digne de vous plaire et de vous aimer j
c’est un ami eharmant: parlez de moi en-
semble, je vous supplie. On a envoyé des
corrections ; je ne sais trop comment on
a arrangé tout cela, mais j’espere, si nous
avons mlle. du Fresne pour Alzire, que
cela sera bien reçu . Adieu, monsieur ; il
est impossible d’être plus aimé et plus re-
gretté que vous l’ êtes â Cirey .