4°
L E T T É R E
cousin Frouilay, si vous voulez . Je veux
vous envoyer i’épithalaine de V ami d’Ar»
gental, quand même vous ne le voudriez
pas . Yous vous douterez bieii de qui il
est ; montrez-le à mr. de Frouilay ; Buvez
à ma santé ensembie, et venez boire ici
à la sienne . Adieu le plus paresseux des
phiiosophes, ie pl-us aimable des Italiens,
adieu ; mr. de Voltaire vous embrasse, et
nioi je vous aime malgré votre oubii.
L E T T É R E
cousin Frouilay, si vous voulez . Je veux
vous envoyer i’épithalaine de V ami d’Ar»
gental, quand même vous ne le voudriez
pas . Yous vous douterez bieii de qui il
est ; montrez-le à mr. de Frouilay ; Buvez
à ma santé ensembie, et venez boire ici
à la sienne . Adieu le plus paresseux des
phiiosophes, ie pl-us aimable des Italiens,
adieu ; mr. de Voltaire vous embrasse, et
nioi je vous aime malgré votre oubii.