i 18 Letters
îi vostri belli anni tra l’amore e la virtuu
Orazio vi direbbe,
Qiiod tu inter scabiem tantam et contagia lucrî
Nil parvi sapias, et adhuc sublimia cures,
Ed il Petrarca soggiungerebbe :
Non lasciar la magnanima tua impresa.
La signora diBentinckè, come il re di
Prussia, condannata dal consiglio aulico, ©
questa povera Marfîsa non è seguita da im
esercito per difendersi.
Cette pauvre milady Blakakér, ou com»
tesse de Pimbeche va encore plaider à Vien»*
ne . C’ est bien dommage qu’ une femm©
si aimable soit si malheureuse : mais je ne
vois par tout que des gens à plaindre, à
commencer par le roi de France, P impé-
ratrice, le roi de Prusse, ceux qui meu-
rent à leur service, ceux qui s’y ruinent,
et à finir par D’Argens.
J?elix cjuî potuit rerum cognoscere causas ; etc»
Fortunatus et ille Deos qui novit agresces .
Pour milady Montaigu, je doute que son
ame soit à son aise ; si vous !a voyez, j®
sOUS
îi vostri belli anni tra l’amore e la virtuu
Orazio vi direbbe,
Qiiod tu inter scabiem tantam et contagia lucrî
Nil parvi sapias, et adhuc sublimia cures,
Ed il Petrarca soggiungerebbe :
Non lasciar la magnanima tua impresa.
La signora diBentinckè, come il re di
Prussia, condannata dal consiglio aulico, ©
questa povera Marfîsa non è seguita da im
esercito per difendersi.
Cette pauvre milady Blakakér, ou com»
tesse de Pimbeche va encore plaider à Vien»*
ne . C’ est bien dommage qu’ une femm©
si aimable soit si malheureuse : mais je ne
vois par tout que des gens à plaindre, à
commencer par le roi de France, P impé-
ratrice, le roi de Prusse, ceux qui meu-
rent à leur service, ceux qui s’y ruinent,
et à finir par D’Argens.
J?elix cjuî potuit rerum cognoscere causas ; etc»
Fortunatus et ille Deos qui novit agresces .
Pour milady Montaigu, je doute que son
ame soit à son aise ; si vous !a voyez, j®
sOUS