30/s L E T T E R E
dites-moi ce que vous en pensez» Adieu,
mon cher ami, ma main est bien mauvai-
se, mais j’ aiine mieux vous en écrire que
cîe celle d’ un sécretaire .
o * o ★ o *■ o ★ o A o * o * O ★ O ★ O * o * o ★,
De PotzcLam 2S. fevrir.t'.
J.l est vrai . mon cher ami, qu’ ihy a bien
longtems que je vous ai écrit : mais aux:
dangers de la maladie ont succédé une fou-
le d’infîrmités et d’ embarras, qui ne m’ont
point permis de gouter le piaisir de m en-
tretenir avec vous. Je n’ai reçu que d’hîer
la lettre du 16. que m. Laurea m a appor-
tée, mais qu’elle avoit laissée àBerlin. Je
ne me portois pas encoré trop bien , lors
qu’un accident que le Iloi eut, il-y-a quin-
ze jours, ne me permit pas de rester tran-r
quile à Berlin. Ce fut tïne crampe qui le
prit en jouant de la slûte, mais qui n’a
cu aucune suite , et sa Majesté se porte
inain-
dites-moi ce que vous en pensez» Adieu,
mon cher ami, ma main est bien mauvai-
se, mais j’ aiine mieux vous en écrire que
cîe celle d’ un sécretaire .
o * o ★ o *■ o ★ o A o * o * O ★ O ★ O * o * o ★,
De PotzcLam 2S. fevrir.t'.
J.l est vrai . mon cher ami, qu’ ihy a bien
longtems que je vous ai écrit : mais aux:
dangers de la maladie ont succédé une fou-
le d’infîrmités et d’ embarras, qui ne m’ont
point permis de gouter le piaisir de m en-
tretenir avec vous. Je n’ai reçu que d’hîer
la lettre du 16. que m. Laurea m a appor-
tée, mais qu’elle avoit laissée àBerlin. Je
ne me portois pas encoré trop bien , lors
qu’un accident que le Iloi eut, il-y-a quin-
ze jours, ne me permit pas de rester tran-r
quile à Berlin. Ce fut tïne crampe qui le
prit en jouant de la slûte, mais qui n’a
cu aucune suite , et sa Majesté se porte
inain-