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https://doi.org/10.11588/diglit.28094#0242
sZ 4
L E T T E R E
XXYL
Dimanche 26.
3oyez le bien de retour, mon cher aini,
et reyenez nous bientôt après toutes yos
absences.
Qratior et Picgi, regia tecta petas.
Àpportez-nous vos dialogues, s il est pos*
sible, que j’ai tant d’envie de voir impri-
inés pour l’ honneur et l’instruction du gen-
re humain: et hàtez vous de venir; ear après
demain expirent les 18. jours que le Mar-
quis a demandé au Roi permission d’ être
malade ; et vous sentez bien qu’ au retour
du soleii ii ne fera pas bon pour ies pla-
netes* J’ai profité de vos absences du mieux
que j’ai pu , et méuie d’une espece de
bouderie de Pôlnitz .
Je me suis remis à mon astronomie nau-
tique que je ne puis ni finir ni abandon-
ner : je ne désespere pourtant pas de la
mettre en état. Adieu, mon cher Algarot-
ti, venez, hâtez-vous, ne me faites point
languir,
L E T T E R E
XXYL
Dimanche 26.
3oyez le bien de retour, mon cher aini,
et reyenez nous bientôt après toutes yos
absences.
Qratior et Picgi, regia tecta petas.
Àpportez-nous vos dialogues, s il est pos*
sible, que j’ai tant d’envie de voir impri-
inés pour l’ honneur et l’instruction du gen-
re humain: et hàtez vous de venir; ear après
demain expirent les 18. jours que le Mar-
quis a demandé au Roi permission d’ être
malade ; et vous sentez bien qu’ au retour
du soleii ii ne fera pas bon pour ies pla-
netes* J’ai profité de vos absences du mieux
que j’ai pu , et méuie d’une espece de
bouderie de Pôlnitz .
Je me suis remis à mon astronomie nau-
tique que je ne puis ni finir ni abandon-
ner : je ne désespere pourtant pas de la
mettre en état. Adieu, mon cher Algarot-
ti, venez, hâtez-vous, ne me faites point
languir,