&$S L E T T E R E
D I
F O R. M E Y
X.
Berlin le 17 Novembre 1858.
\ ous ariez eu une lettre de m. de Mau-
pertuis du 9 Octobre , et moi une du in.
Ji ru’ y représentoit sa sante dans un grand
désordre, et paroissoit pourtant tourrnent©
du desir de regagner Beiiin . Je crois que
les nouvelles du 14 ont ralienti sa marche.
li s’ est cependant rendu à Bâle ; et l’ on
inande de là qu’il ne paroit pas fort ma-
lade • Selon toutes les apparences il y pas-
sera i’ fayver, et c’ est au fond ce qu’ ii auroit
de mieux à faire : Barlin ne pouvant à
mon avis lui osfrir rien de fort récréant,
au moins yu sa façon ds envisager les objets .
Les nouvelles susdites du 14 n’étoient pour-
tant pas à beaucoup près aussi terrassantes
qu’ elies l’ ont paru, et qu’ ou a afsecté de
les représentér dans les gazettes. Les suû
tes
D I
F O R. M E Y
X.
Berlin le 17 Novembre 1858.
\ ous ariez eu une lettre de m. de Mau-
pertuis du 9 Octobre , et moi une du in.
Ji ru’ y représentoit sa sante dans un grand
désordre, et paroissoit pourtant tourrnent©
du desir de regagner Beiiin . Je crois que
les nouvelles du 14 ont ralienti sa marche.
li s’ est cependant rendu à Bâle ; et l’ on
inande de là qu’il ne paroit pas fort ma-
lade • Selon toutes les apparences il y pas-
sera i’ fayver, et c’ est au fond ce qu’ ii auroit
de mieux à faire : Barlin ne pouvant à
mon avis lui osfrir rien de fort récréant,
au moins yu sa façon ds envisager les objets .
Les nouvelles susdites du 14 n’étoient pour-
tant pas à beaucoup près aussi terrassantes
qu’ elies l’ ont paru, et qu’ ou a afsecté de
les représentér dans les gazettes. Les suû
tes