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tes prouvent évidemment le contrâire ; et
nous venons de clianter un Te Deum pour
la délivranc.e de Neiss à la barbe de touâ
ces ennemis prétendus victorieux, qui devoi-
ent nous écraser. Les Russes conîinuent à s’
ëloigner , et les Suédois , aux contributions
près par lesquelles ils minent le pays, de-
meurent dans une inertie surprénante . On
peut dire que la susée est toujours bien.
embrouiilée, et que Dieu seul sait comment
elle se demélera.
V ai réiteré à Londres la recommanda-
lion cle mr, Zanotti, et je me persuada
que ce ne sera pas sans esfet. Dès que s-
en aurai avis , je 11e tarderai pas à vous
le conimuniquer j et je serai charmé de
la réussite d’ une chose à la quelle yoits
prenez un vif intérêt . Pour le p. Frisio,
le voilà expédié ; et j’ ai cru vous faira
plaisir, monsieur, en vous adressant son
diplome , qu’ il recevra cle votre part avec
une double satisfaction . Me trouvant sous
la main une brochure que le Ministre vient
de faire publier sur la bataille de Zorn-
dorf, j’ai cru, monsieur, que vous ne
seriez pas fàché de ia lire - EjoLh, j’écria
tout
tes prouvent évidemment le contrâire ; et
nous venons de clianter un Te Deum pour
la délivranc.e de Neiss à la barbe de touâ
ces ennemis prétendus victorieux, qui devoi-
ent nous écraser. Les Russes conîinuent à s’
ëloigner , et les Suédois , aux contributions
près par lesquelles ils minent le pays, de-
meurent dans une inertie surprénante . On
peut dire que la susée est toujours bien.
embrouiilée, et que Dieu seul sait comment
elle se demélera.
V ai réiteré à Londres la recommanda-
lion cle mr, Zanotti, et je me persuada
que ce ne sera pas sans esfet. Dès que s-
en aurai avis , je 11e tarderai pas à vous
le conimuniquer j et je serai charmé de
la réussite d’ une chose à la quelle yoits
prenez un vif intérêt . Pour le p. Frisio,
le voilà expédié ; et j’ ai cru vous faira
plaisir, monsieur, en vous adressant son
diplome , qu’ il recevra cle votre part avec
une double satisfaction . Me trouvant sous
la main une brochure que le Ministre vient
de faire publier sur la bataille de Zorn-
dorf, j’ai cru, monsieur, que vous ne
seriez pas fàché de ia lire - EjoLh, j’écria
tout