t rr e d i t e'- , 4°?
D E L C O N T E
ÀLGAROTTT
IV»
Potzdam 4 J'ain 1749-
e yiens cle voir raa lettre dans le /«er*
cure : et je l’y ai vue, madame, avec d’
autant plus de plaisir, cpie c’ est par vous'
même qu’elle y a été inserée. Je pardon-
ne aux pères Jesuites d’avoir été efsarou-
chez au mot de Cjythese aux noms de mi*
ledy Gravely , de madonna Beatrice ; mais
je leur ne pârdonne pas d’ avoir pû refu-
ser quelque chose a mad. du Boccage. IIs
ont fait ce que n’ auroient su faire ni les
anges ni les diablés que vous avez si bien
chanté. Yous me dites, madaine, des cho-
ses bien obligeantes dans votre lettre . JSon
ohtusa adeo gestamus pectora dâns ce pays-
ci, que le souvenir de Paris puisse s’ esfa-
cer de notre esprit. En tout cas, mada-
C c % me t
D E L C O N T E
ÀLGAROTTT
IV»
Potzdam 4 J'ain 1749-
e yiens cle voir raa lettre dans le /«er*
cure : et je l’y ai vue, madame, avec d’
autant plus de plaisir, cpie c’ est par vous'
même qu’elle y a été inserée. Je pardon-
ne aux pères Jesuites d’avoir été efsarou-
chez au mot de Cjythese aux noms de mi*
ledy Gravely , de madonna Beatrice ; mais
je leur ne pârdonne pas d’ avoir pû refu-
ser quelque chose a mad. du Boccage. IIs
ont fait ce que n’ auroient su faire ni les
anges ni les diablés que vous avez si bien
chanté. Yous me dites, madaine, des cho-
ses bien obligeantes dans votre lettre . JSon
ohtusa adeo gestamus pectora dâns ce pays-
ci, que le souvenir de Paris puisse s’ esfa-
cer de notre esprit. En tout cas, mada-
C c % me t