^^sewsssssssosssssstt®
Observ'ations.
Mr. Zoyle etoit encore toutfurieux
des hudes qu’il s’eroit attire, par
ceux qu’il avoit voulu railler sür les lote
ries; &tandisqu’il s’eloignoitd’eux,ilren
contra le compere Mathieu & Poncle Ba
fin, qui alloient, äpointnomme, ches
un colle&eur pour y prendre des billets:
il se mit a perorer pour les en detourner
Vous alles, leur disoit il, perdre le cer-
rain que vous aves, pour l’incertain que
vousn’aures jamais: je me scais bon gre
d etre venu de ce cote, puisque cela me
procure le plailir de vous empe'cher de
perdre votreargenc. Mais, luiditlecom
pere Mathieu, que faites vous du votre? —
Mr. Zoyle! je l’emploie ames besoins
& ä mes piaisirs, repond-il. — Nous
faisons tont comme vous. — Zoyle* Il
y a bien de la difference, ce que j’employe
a mes piaisirs m’amuse, & ce que vous
depenses aux votres, elf une duperie;1
i’oncle Bafin. Peut - on savoir quels1
sönt vos piaisirs ? — Zoyle. Je jouej
je i