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E. AMÉLINEAU.
rucvirceTV.oc c^p epq^opein1 iioTrc^HAiè». mmoh^oc ne Auime^-y eT^qoTtono
enicon niptr^ eTdvtteAU e&oTVoiTOTq. ottoo ne2s_e nie^oeTV.oc n^q 2s.e Tocmii
ocoà uj&poq otfoo qn^ujonn epoq. ne2s_e mcon nô<q 2£_e hh eTpcoïc enipo n&-
•y^fs.T eut euje e£omi uj^poq. ne2S-e nieuM^eTVoc n^q 2î_e oojTV kôor ottoo Xnèv"
2£_eAL pCOAU dwH eq>Alôv MTlipO ^ MUCKOTTOI e^OTTU ïiy^lùKzXK ^Ues.2S.IAVI AUieillCOT
eqoe.w.ci oipen q>po n^euuTv.iiciô. e2s_en ^îietuiH. ^2s_oc n^q 2sl€ neate q>H €Te*.q-
KHil 3d<TOTR ^tlOTT eqCèv2î_I K6AV&.II Cô». OimidwAV. a\.niA*.ÊvUep UJtoOTUJÏ 2S_€ UJOTIT
epon tuiecon. ottoo e». nicon T^2î_poq e2s_en nicô^i èvqTwnq ^q^" AuieqoTroi
enïAtCiH^CTHpiOil OTOO Ameq2£_eAV. OA.1 «pCOMI eq>MdV AUIipO TlipH"^
m&uceTVoc 3LOC ne^q. n^oTmoir ^q^" Aineqoiros e5o7rn ^q2£.ïAU AoiemcoT Atnpo-
cpHTHc eorce^ eqoeAici (fol. 58 verso) ess-en ^-kennn me ^■enn?V.HCïev epe
neq'A.eîiiToe2 eTpev£i ToiouoTq. ne ^-inrpi^uH 2s.e Tie nieooo"?r eTeAiAt^Tr3 otoo
ne qnievir ne HTôJ\e «urnes, eopni Ainoc. oto£ eTô. nicon ep ohtc nc^-x-i hcav
nenuoT AUipoq>irrHc soie*. ujenoTr^ r«s.tô>. hh eT^qcoeMov HTOTq AUiïe^ce'A.oc
eeoTiiii dvq.wcnr'^ nsi.e nenicoT Avnicon eToniu eniMà. nucoTV.0 ne2s.dvq n&q 2£_e oocwV
moment où il apparut au frère, selon la manière dont nous l'avons appris de lui.
Et l'ange lui dit : «Lève-toi, cours vers lui. et il te recevra.» — Le frère lui dit :
«Ceux qui veillent à la porte ne me laisseront pas entrer vers lui.» — L'ange lui
dit : «Va, toi. et tu ne trouveras personne à la porte,4 entre vite; tu trouveras ton
père assis près de la porte de l'Eglise sur le montant, dis-lui : Celui qui vient de
cesser de te parler à la droite de l'autel a dit : Reçois-moi une autre fois.» — Et
le frère s'affermit sur ce discours, il se leva, il approcha du monastère, il ne
trouva personne à la porte, comme l'ange le lui avait dit. Aussitôt il entra, il trouva
notre père apa Schnoudi assis sur le montant de la porte de l'Église, il était re-
vêtu de son habit mince, car ce jour-là c'était dimanche et c'était l'heure d'offrir
le sacrifice au Seigneur. Et lorsque le frère eut commencé de parler avec notre
père apa Schnoudi selon ce qu'il avait entendu de l'ange saint, notre père appela
le frère qui était chargé de la sonnerie, il lui dit : «Va, appelle-moi le domestique
qui a chassé le frère.» — Et lorsqu'il fut venu, notre père lui dit : «Fais entrer le
Cod. CT6.M..M.i\.T. -
E. AMÉLINEAU.
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Et l'ange lui dit : «Lève-toi, cours vers lui. et il te recevra.» — Le frère lui dit :
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dit : «Va, toi. et tu ne trouveras personne à la porte,4 entre vite; tu trouveras ton
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cesser de te parler à la droite de l'autel a dit : Reçois-moi une autre fois.» — Et
le frère s'affermit sur ce discours, il se leva, il approcha du monastère, il ne
trouva personne à la porte, comme l'ange le lui avait dit. Aussitôt il entra, il trouva
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vêtu de son habit mince, car ce jour-là c'était dimanche et c'était l'heure d'offrir
le sacrifice au Seigneur. Et lorsque le frère eut commencé de parler avec notre
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Cod. CT6.M..M.i\.T. -