MONUMENTS, ETC.
^+&\ ç^j) \j ^iwXft]! a) (jJj^Lïi U» pJl AoUc a^j juii wXaJ ^îli
abc pi ji^9; 0^ (J^^ ^ ^ ^ ^ (j-i-5^ ^
^! Al JlS l£ j£"LU ï^vif oli ALo ^>wX.SU
a-jju (3 ofc> a1)I (j^-xsrfj 1^"^ ^lU! A; Ij^I U
Î^Ljij ^ Ji JL, Ai]! ^ OJU vU ^
père. Et le (nouveau venu) baisa la main (de mon père) en disant : «Certes, j'ai
obtenu dans ce jour une grande bénédiction puisque je t'ai vu.» — Le saint lui
dit : «Mon fils, fais-moi plaisir à cause de Dieu, rends à cet homme ses vases et
ses étoffes de peur que le Seigneur ne te prive de sa grâce, car tu as dépassé (les
limites) permises.» — Et l'homme lui dit : «Tu sais, ô mon père, que je ne les
ai pas volés tout seul.» — Et le saint lui dit : «Je ne t'ai fait venir que parce que
tu ne me désobéis pas; car tes compagnons sont des méchants et des brutaux;
s'ils m'écoutent et ne m'obéissent pas, on les livrera à la perte.» — Et l'homme
dit à notre père Schnoudi : «Allons devant l'autel, afin qu'il me jure devant toi
qu'il ne laissera personne savoir cela; et s'il me donne quelque chose, je lui ren-
drai ses étoffes en bon état.» Et ils firent comme il avait été dit. Et (le voleur)
prit l'homme, il le conduisit dans un endroit caché et lui rendit ses biens sans
que rien y manquât. Et voici que ce (marchand) fit de nombreuses aumônes aux
pauvres, comme le lui avait dit mon père.
Voici ce que nous a raconté le vieillard pur : que tout le monde écoute et glo-
rifie Dieu. 11 y avait dans la ville d'Akhmim un jeune homme riche et pieux,
craignant Dieu et venant très souvent au monastère. Il était marié honnêtement
46*
^+&\ ç^j) \j ^iwXft]! a) (jJj^Lïi U» pJl AoUc a^j juii wXaJ ^îli
abc pi ji^9; 0^ (J^^ ^ ^ ^ ^ (j-i-5^ ^
^! Al JlS l£ j£"LU ï^vif oli ALo ^>wX.SU
a-jju (3 ofc> a1)I (j^-xsrfj 1^"^ ^lU! A; Ij^I U
Î^Ljij ^ Ji JL, Ai]! ^ OJU vU ^
père. Et le (nouveau venu) baisa la main (de mon père) en disant : «Certes, j'ai
obtenu dans ce jour une grande bénédiction puisque je t'ai vu.» — Le saint lui
dit : «Mon fils, fais-moi plaisir à cause de Dieu, rends à cet homme ses vases et
ses étoffes de peur que le Seigneur ne te prive de sa grâce, car tu as dépassé (les
limites) permises.» — Et l'homme lui dit : «Tu sais, ô mon père, que je ne les
ai pas volés tout seul.» — Et le saint lui dit : «Je ne t'ai fait venir que parce que
tu ne me désobéis pas; car tes compagnons sont des méchants et des brutaux;
s'ils m'écoutent et ne m'obéissent pas, on les livrera à la perte.» — Et l'homme
dit à notre père Schnoudi : «Allons devant l'autel, afin qu'il me jure devant toi
qu'il ne laissera personne savoir cela; et s'il me donne quelque chose, je lui ren-
drai ses étoffes en bon état.» Et ils firent comme il avait été dit. Et (le voleur)
prit l'homme, il le conduisit dans un endroit caché et lui rendit ses biens sans
que rien y manquât. Et voici que ce (marchand) fit de nombreuses aumônes aux
pauvres, comme le lui avait dit mon père.
Voici ce que nous a raconté le vieillard pur : que tout le monde écoute et glo-
rifie Dieu. 11 y avait dans la ville d'Akhmim un jeune homme riche et pieux,
craignant Dieu et venant très souvent au monastère. Il était marié honnêtement
46*