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522

E. AMÉLINEAU

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plcurcr vers le Seigneur à cause de cette chose, par la providence de Dieu et
son grand amour des hommes, à l'heure de l'aurore en ce jour-là, un magis-
trat frappa à la porte du couvent, et, lorsque celui qui était de service à la
porte lui eut répondu, alors il lui dit : « Dites à votre père : J'ai promis un
peu de froment pour (ceux qui sont dans) les mines à cause de mon salut.
Maintenant donc on m'a fait voir dans un songe que vous en avez besoin,
envoyez donc, débarquez-le. » Lorsque le portier eut porté la nouvelle à notre
père, il s'étonna et il se leva, il sortit, il lui parla, disant : « Nous avons à la
vérité besoin d'un peu de froment; mais donne-nous un délai jusqu'à ce que
le Seigneur nous en ait préparé le prix afin que nous te le donnions. »
L'homme lui répondit : « Je ne te l'ai pas apporté pour quelque chose, mais
pour mon salut et encore parce que vous êtes des hommes de Dieu. » Sur
l'heure il le débarqua avec les frères; ensuite il lui apporta quelques petites
bénédictions4, quelques pains, un peu de restes et quelques petits légumes;
mais l'homme les reçut avec une grande foi en Dieu, et notre père le bénit,
et il le quitta dans une grande joie. Mais notre père Pakhùme s'assit, il parla

l. Lisez : juuu.eT&.AAoit. — 2. Ce qui est entre crochets existait primitivement dans le manuscrit à
l'époque où je l'ai copié; le relieur l'a fait disparaître en mettant ces feuillets en état d'être reliés. —
3. .Même observation. — 4. C'est-à-dire ce qu'ailleurs on appelle eulogie : c'était alors la coutume de
bénir tout ce qui se mangeait, comme aujourd'hui on bénit le pain. Les Coptes donnent encore des
pains entiers avec une croix dessus après leur messe à ceux qu'ils en jugent dignes.
 
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