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FRAGMENTS DES VIES DE PAKHÔME ET DE THÉODORE 535

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ils avaient besoin, soit charnelle, soit spirituelle. Et il amena aussi l'autre
couvent où il était quand il était laïque; c'était le lieu de Pesterposcn: il fît que
leur affaire à eux aussi fut sous la communauté, car ils prenaient soin des
quelques palmiers qu'il y avait là. Après un autre temps, on lui dit en songe:
« Il faut que tu établisses un couvent dans la terre deSchmin, afin que tu me
rassembles uu peuple en ce lieu. » Sur l'heure, il se leva, il prit les frères, il
alla en ce lieu, il bâtit avec les frères le couvent et les habitations; ensuite il
ordonna leurs hommes de maison et leurs seconds, avec tout le mobilier et
toute chose dont ils avaient besoin, selon les règles des autres couvents, et un
grand puissant, nommé apa Pessô, il le fit père sur eux afin de leur dispenser
(ce dont ils avaient besoin) : on appelle ce (couvent) Tsî ; mais lui encore, notre
père Pakhôme, il allait vers eux souventes fois pour les visiter et les maintenir
en leur' bon sens dans la parole de Dieu et pour une chose dont ils avaient
besoin. Et lorsqu'un grand magistrat aimant Dieu, qui était dans la ville de
Kôs, dans le Sa'ïd, eût entendu parler de sa célébrité, sur l'heure il amena une
barque qui lui appartenait, il la chargea de blé, il la lui fit conduire5 lui ayant
écrit une lettre de cette sorte: « Puisque j'ai entendu la célébrité de ta piété

1. A la marge ë. cinquième couvent. — 2. Lisez : ovgop^aj.*.. — 3. A la marge c, sixième couvent.
— 4. Il faut peut-être lire juuulok. — 5. Mot à mot : Il fit qu'ils la lui prissent.
 
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