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FRAGMENTS DES VIES DE PAKHÔME ET DE THÉODORE

541

ne/troTruiJU c^p ne juh nevepH'y £ï oircon a/rco nToq neTf| nTeirxikn^nH n^q
eoiKonojui1 jujuocy. m^Treipe un\i eo u^-y as.Tfco £ju neToiriouj •seRà.c eq-
eomonojuei nTeir^peià. THpc efioTv. *xe neqnTOOTO'y •se OTnicroc ne ^ttio ^e
itToq ne ne^eiiiOT um\c\ nnoTTTe. nesTiouj -^.e tiT^qToujq uis.y nTeige equjeei
njuju^Y k^t^ TemunT^ooii née eTepe n^nocToXoc -sco ju.ju.oc ^e ^iiyoone ntyiofi
£ioc t^toÊi -se em\| oivy nn^oon eqcg^i -à.e on îmnopmeioc ne^^q -se ^itcctii
OTepciOTe uoTope \n ne un\T€- (-ne1-) TeTneujfT'ui^oju o^p ne ^XTViv Teno-y
on junôvTeTeTiieujg'juf5'<jOJU. Tdvi <3"e Te oe enT^q»wAx e&o'a. -se ^qn^-y epoo«y
un&TOTpme eutoTp egoTrn eTKonnmusv ct^hr efio'X un neTepH'y k\tjs. ee
eTcHg gn nenp^ïc eT&e neuT^-ynicTeire ^e neiro hotoht ïiotcot uti ottvj^v^h
noirooT ôwTTCjo nepe hr^ nuu tgoon n^-y oi OTcon ejuepe TVd^'y csooc eneTujoon
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oim &oax jujuoq ecôwnoTfujo'y née eTCHg *2£e uj^pe ovckot n^iK^ïoc C&.&.KUJ
k^Aojc neq-221 Se. n-rooTO-y ne k^t& ne\TCùuj eqomono.uu2 jujuoo-y neTVTcoiu
THpq ecuj^n- (-n^-) lycone ^.e nceente n&q noen têt h gen Re^i iiotcoju uj^q-
anoY nqT^juiocy n^-y ^ttoo equj^noTTO) eqcofrre n^<y eqTJUJUo jujuoo'y yj^qg-

talité. Car ils mangeaient ensemble tous à la fois, et ils lui donnaient leur gain
pour leur dispenser ce dont ils avaient besoin, car c'était pour eux un homme
fidèle et même après Dieu, c'était leur père. Mais cette règle, il la leur assigna
ainsi, marchant avec eux et selon leur faiblesse, à la manière que dit l'apôtre :
« J'ai été infirme, comme si j'eusse été infirme, afin de gagner les infirmes; »
et écrivant aux Corinthiens, il dit: « Je vous ai fait boire du lait, et non de la
nourriture solide, car vous n'en étiez pas capables, et vous n'en êtes pas encore
capables. » C'est ainsi qu'il fit parce qu'il vit qu'ils n'étaient pas encore enclins
à se (laisser) lier dans la communauté parfaite les uns envers les autres, ainsi
qu'il est écrit dans les Actes de ceux qui crovaient: « Ils étaient un seul cœur,
une seule âme, et de tout ce qui leur appartenait à la fois, personne ne disait;
c'est à moi. » Mais lui, notre père Pakhôme, les nourrissait dans la manière
qu'il pouvait les nourrir, ainsi qu'il est écrit: « Un père juste nourrit bien, »
il recevait d'eux selon cette règle, leur dispensant selon toute leur règle. Et s'il
arrivait qu'ils lui apportaient quelques poissons, ou d'autres mets, il les prenait,
il les leur préparait, et lorsqu'il avait fini de les préparer pour eux et de les

i. Lisez : eoiKouojmei. — 2. Lisez : eqoiKOHOAiei.
 
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