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https://doi.org/10.11588/diglit.14321#0082
554
E. AMÉLINEAU
Teq.utuTJU.dwi noTTe noog ujà. ottok uiul choctc ucecioTju. eneqpdai \\<3\ îte^em-
koc ôlTio uegpcojuxioc ucees ncep aaou^^çoc £ivgTHq nToq gwioq npcouie
AinuoiTTe n.&.qc&.tiuf juum.ooy kèv\cjoc née uoirjuLOOue ecojvTVm1 unecujnpe. ott^
•^.e oseo-xiopoc2 eq^u pjvKOTe evujHpe5 ujhjul ne eqo u juLUTc^ujqe npo.ju.ne
eTTgeonmoc4 ne epe neqesoTe g^-peg epoq gu omuuTcejunoc is.voi> is. nennd».
junnoTTe.....eTpeq(p ^picTixuo)c n(Toq) (-pju-) -^.e ^qcjunrc g« neqgHT
ose epuj^u nisoeic coottk îit\^ïh HT^p ^pejcTid.Hoc ^u^p juou^^oc ou
iiTdvgisvpeo^ en^ccoutà. eqo7Fj^& uj^nTe msoeic <Sts. n^njme. a/roi eTei6 .Jun^Te
ngioft oicn ^qTCOOTn ^q&coK ep^Tq jun^p^QiemcKonoc ^n*. ^e^n^cïoc ô^qT^To
epoq iiiieTgA* neqgHT THpoy (mt)w ^qfe^nTi^e (x*.)juoq ^tuï ^qTOujq it&.udt-
chiocthc. junnctoc è^qTpeTTKtoT n*>q uotju^ £u tckk^hci^ a^q^u^^cjopei
n^q ïiojKTq SvTToo uejueqTtojuT e^V^^'Y ncouue enTHpq uca. TeqAA^^-y juu Teq-
cuine *.7tco unn^y eTqn^couj gn TenRAHciis. (ô.q)^cioiui^e e(T)x*.(5'co(iyT) gn
neqÊdwTV. gn tcrr^hcs*. eqp ooTe egHTc nT^nocÇdwCsc jmneTr^ctcie,\ion -se neT-
na^tonjT nc&. OTcguue nqemeirjuei epoc ôvqoTroj (eq)p noein epoc (g**.) neqgHT
Jv(mo) on *2te ktc..... (ftjdwTV. efto\ ae.....eTrnis.'y en(neT)ujo7reiT. es.(ira> o)n
mains entendirent son nom, qu'ils vinrent, qu'ils se firent moines près de lui ;
mais lui aussi, l'homme de Dieu, il les nourrissait bellement à la manière
d'une nourrice qui soigne ses enfants. Mais l'un d'eux, nommé Théodore,
qui était à Rakoti, c'était un petit garçon qui était dans sa dix-septième
année, il était païen et ses parents le gardaient dans une conduite digne, et
l'Esprit-Saint le mut à se faire chrétien ; et lui, il établit dans son cœur, disant :
« Si le Seigneur dirige mon chemin afin que je me fasse chrétien, je me ferai
moine afin de garder mon corps pur jusqu'à ce que le Seigneur me visite. »
Et, sans tarder, il se leva, il alla vers l'archevêque apa Athanase, il lui énonça
tout ce qui était dans son cœur, et (Athanase) le baptisa, il l'ordonna ana-
gnoste, puis il lui fit construire une habitation dans l'église, et Théodore s'y
retira : il ne regardait aucune femme, si ce n'est sa mère et sa sœur, et à
l'heure où il devait lire dans l'église, il luttait pour ne point lever les veux
dans l'église, craignant le jugement de l'Évangile, disant: « Celui qui regar-
dera une femme et la désirera vient d'être adultère avec elle dans son cœur, »
et encore : « Détourne ton œil.....voyant la vanité. » Et encore il faisait de
i. Lisez : ec-e-ôuVnej. — 2. Lisez : ■»eo,2w.iDpoc ou ose ■e-eo'ik.topoc. — 3. Lisez : eoTiçjHpe. — 4. Lisez :
eoTgt&iijKoc. — 5. Lisez : ^(LpicTiô.itoc. — 6. Lisez : en.
E. AMÉLINEAU
Teq.utuTJU.dwi noTTe noog ujà. ottok uiul choctc ucecioTju. eneqpdai \\<3\ îte^em-
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mais lui aussi, l'homme de Dieu, il les nourrissait bellement à la manière
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année, il était païen et ses parents le gardaient dans une conduite digne, et
l'Esprit-Saint le mut à se faire chrétien ; et lui, il établit dans son cœur, disant :
« Si le Seigneur dirige mon chemin afin que je me fasse chrétien, je me ferai
moine afin de garder mon corps pur jusqu'à ce que le Seigneur me visite. »
Et, sans tarder, il se leva, il alla vers l'archevêque apa Athanase, il lui énonça
tout ce qui était dans son cœur, et (Athanase) le baptisa, il l'ordonna ana-
gnoste, puis il lui fit construire une habitation dans l'église, et Théodore s'y
retira : il ne regardait aucune femme, si ce n'est sa mère et sa sœur, et à
l'heure où il devait lire dans l'église, il luttait pour ne point lever les veux
dans l'église, craignant le jugement de l'Évangile, disant: « Celui qui regar-
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et encore : « Détourne ton œil.....voyant la vanité. » Et encore il faisait de
i. Lisez : ec-e-ôuVnej. — 2. Lisez : ■»eo,2w.iDpoc ou ose ■e-eo'ik.topoc. — 3. Lisez : eoTiçjHpe. — 4. Lisez :
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