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FRAGMENTS DES VIES DE PAKHÔME ET DE THÉODORE

599

ïi^ktX^c. îieciiH'Y^ se ^Tp ujimpe juneitT^qsooq e^qsioK e&o'Xgit ott<?enH.

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epoq «<?i doià. ^eosiopoc ^qsocyq Hoirgiofi eirgeiteeTe 1 juit Reçoit *>.irco itTep-
o-yn'\(3' neTgooÊ itceKTOoy epHc ctci 2 se etrgïi Tegm ^ neTjuju^-y eifse ô^q&coK
enecHT eniepo se eqitôxe juocy (-ti-) KTeTTiiO'y d>.qqoo<ye itccoq na*! ovjuc^g
^Too giTit t&oHeeid. JunitoTTe AwqoTs^i epoq. juitiiccoc irrepeqei enfioo'Y
ovooge3 AoKcq gi poTge junigocy ïtotrcoT ^qKmsimeTre enjucy iiTeTTiioy

Mais les frères admirèrent que ce qu'il avait dit se fût accompli en hâte.

Il arriva un jour que notre père Théodore s'approcha d'un frère qui était
tombé dans des fautes, afin de faire remède à son âme en secret, car aucun
homme ne savait les œuvres où ce (frère) était tombé; et, quand il eut com-
mencé de lui parler en secret de ses fautes comme lui étant connues4, celui-là
nia, disant : « Je n'ai rien fait de ce que tu me dis; » car ce frère-là ne savait
pas que rien ne lui était caché5, ainsi qu'à notre père Pakhôme. Et, quand il vit
que le (frère) ne confessait pas sa faute6, il le quitta, en disant : « Tu as dit;
cela suffit. » Mais il arriva après des jours que apa Théodore l'appela, il l'en-
voj'a pour une affaire dans un couvent avec d'autres frères; et, quand ils
eurent accompli leur affaire et qu'ils retournèrent vers le Sud, comme ils
étaient encore en chemin, celui-là eut soif, il descendit au fleuve pour boire
de l'eau : aussitôt un crocodile s'élança sur lui et, par le secours de Dieu, il
fut sauvé de lui. Ensuite quand il fut arrivé à Peboou, un scorpion le piqua
au soir de ce même jour et il fut en danger de mort. Aussitôt il pleura et il
envoya vers notre père Théodore, le priant de venir vers lui7 avant qu'il

t. Lisez : eoTgeKeeTe. — 2. Lisez : cti. — 3. Lisez : oTOTOoge. — 4. Mot à mot : Comme lui
étant visibles. — 5. Je traduis comme s'il y avait «vu et non pas oit que porte le texte, parce que le con-
texte me semble exiger cette traduction; car, si le frère eut su que Théodore connaissait toute chose,
comme il est dit, il n'aurait pas nié. — 6. Mot à mot : Sa glissade. — 7. Mot à mot : De venir afin qu'il
l'abordât.
 
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