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Amélineau, Emile
Monuments pour servir à l'histoire de l'Egypte chrétienne aux IVe et Ve siècles: textes et traduction (Band 2): Aux IVe, Ve, VIe et VIIe siècles: textes et traduction — Paris, 1895

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https://doi.org/10.11588/diglit.14321#0131
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FRAGMENTS DES VIES DE PAKHÔME ET DE THÉODORE

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des frères; car une foule de fois, c'était de telle sorte qu'il n'y avait aucune
différence entre lui et les frères dans son vêtement et toute sa conduite, de
sorte qu'ils le trouvaient plus pauvre qu'eux dans son habit. Et, quelquefois
des hommes venus de loin le rencontraient aussi entrant dans le couvent,
lorsqu'ils amenaient avec eux des gens malades et souffrants, afin qu'il priât
sur eux et fussent guéris, de sorte que, ne le connaissant point, parce qu'il
était plus humble qu'eux dans son habit et qu'il ne marchait point en avant
des frères comme s'il eût cherché la gloire des hommes, ceux-là donc mar-
chaient à lui et lui disaient : « Frère, nous te prions d'appeler notre père
Théodore, l'homme de Dieu, afin qu'il prie le Seigneur sur nos hommes, afin
qu'ils soient guéris. » Et il arrivait, après qu'il était passé, qu'ils apprenaient
des frères que celui avec lequel ils avaient parlé, c'était lui, et ils couraient en
avant pour l'observer, prendre la terre qui était sous ses pieds, en frotter ceux
qui étaient malades, afin que le Seigneur les guérît par leur foi et glorifiât
son serviteur, ainsi qu'il est écrit : Celui qui me glorifiera, je le glorifierai.
Car la réputation de sa piété s'était répandue1 dans l'Egypte entière et on lui
amenait des foules d'hommes malades et démoniaques, afin qu'il les guérît

i. Mot à mot : Avait marche.
 
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