AVERTISSEMENT.
En laissant un intervalle de deux ans et demi
entre le dernier saion et celui de 1819, on est par-
venu à fixer au jour de la Saint-Louis, selon l’ancien
usage, i’époque des expositions publiques. Le res-
pect dû aux solennités consacrées par le temps a
sans doute déterminé cette mesure, qui, d’ailleurs,
s’accorde assez généralement avec l’intérêt des
artistes : ils pourront dans la suite terminer avec
plus de loisir les ouvrages qu’ils auront com-
mencés dans la saison la plus favorable à leurs tra-
vaux.
Nos lecteurs n’ont point oublié que l’exposition
de 1817, dont nous avons rendu compte dans le
temps, était plus considérable qu’aucune de celles
qui l’avaient précédée : celle de 1819 la surpasse
de beaucoup pour la quantité et le mérite des
En laissant un intervalle de deux ans et demi
entre le dernier saion et celui de 1819, on est par-
venu à fixer au jour de la Saint-Louis, selon l’ancien
usage, i’époque des expositions publiques. Le res-
pect dû aux solennités consacrées par le temps a
sans doute déterminé cette mesure, qui, d’ailleurs,
s’accorde assez généralement avec l’intérêt des
artistes : ils pourront dans la suite terminer avec
plus de loisir les ouvrages qu’ils auront com-
mencés dans la saison la plus favorable à leurs tra-
vaux.
Nos lecteurs n’ont point oublié que l’exposition
de 1817, dont nous avons rendu compte dans le
temps, était plus considérable qu’aucune de celles
qui l’avaient précédée : celle de 1819 la surpasse
de beaucoup pour la quantité et le mérite des