C 80 s
ïes eaux de ce lac étoient mêlées avec celles da
lac Lucrin , et de la mer Tirrhenienne ce qui
formoit le Port Jules . On a connu de nos jours
ia vsaie direction de ce fouterrain vers le fcae Lu-
crin , par la découverte de 1" autre entrée vers
ce lac $ cette entrée confiite en deux arcades quefc
que peu éloignées Tune de Tanne qui contien-
nent un vuide découvert tapifse d1 un ouvrage k
rézeau . Il efc dilficiie d1 affurer fi ce fouterrairj
communiquoit avec ceux qui exiftent dans les en-
virons de Cumes . Avant qu' on eut découvert
T autre entrée du côté du lac Lucrïn, on croyoit
qu1 il aboutiffoit k Cumes , quoiqu* U ne pénétrât
de ce cô:é la qu'environ cent cinquante pas . A'
cette diftance on rencontre à droite un petit ren-
tier tournant , ou une feule perfpnne peut palier
a. la fois , d'où, on ençre dans une petite cham~
hre quarrée , que Ton prétend çtre l'endroit où
la Sibylle rendoit fes, oracles . On y voit une oih
verture pleine de terres éboulées , qu'on dit
avoir étée une des portes fecrètes de la Sibylle . A*
côté de cette chambre il y en a, une autre avec
deux baignoires de pierre brute, et; quelque refte
d'ancienne mofaïque fur le mur. Elle tir rem-,
plie d'eau k la hauteur d1 un pied , dont la fourcef
de cette eau effc dans la chambre voiiine . Elle a,
wu
ïes eaux de ce lac étoient mêlées avec celles da
lac Lucrin , et de la mer Tirrhenienne ce qui
formoit le Port Jules . On a connu de nos jours
ia vsaie direction de ce fouterrain vers le fcae Lu-
crin , par la découverte de 1" autre entrée vers
ce lac $ cette entrée confiite en deux arcades quefc
que peu éloignées Tune de Tanne qui contien-
nent un vuide découvert tapifse d1 un ouvrage k
rézeau . Il efc dilficiie d1 affurer fi ce fouterrairj
communiquoit avec ceux qui exiftent dans les en-
virons de Cumes . Avant qu' on eut découvert
T autre entrée du côté du lac Lucrïn, on croyoit
qu1 il aboutiffoit k Cumes , quoiqu* U ne pénétrât
de ce cô:é la qu'environ cent cinquante pas . A'
cette diftance on rencontre à droite un petit ren-
tier tournant , ou une feule perfpnne peut palier
a. la fois , d'où, on ençre dans une petite cham~
hre quarrée , que Ton prétend çtre l'endroit où
la Sibylle rendoit fes, oracles . On y voit une oih
verture pleine de terres éboulées , qu'on dit
avoir étée une des portes fecrètes de la Sibylle . A*
côté de cette chambre il y en a, une autre avec
deux baignoires de pierre brute, et; quelque refte
d'ancienne mofaïque fur le mur. Elle tir rem-,
plie d'eau k la hauteur d1 un pied , dont la fourcef
de cette eau effc dans la chambre voiiine . Elle a,
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