surleBpju. 37
îrait ; enfin , qui donne au corps
hurnain une espece de beauté spi*
rituelle.
Comment donc s’est-il trouvé de.s
esprits astez bizarres ou astez stu-
pides, ponr philosopher contre un
jiigement naturel st conforme à la
raison ? Comment s’en trouve-t-il
encore quelquefois dans certaines
eompagnies , qui voudroient faire
dépendre i’idée du beau de l’éduça-
îion , du préjugé, du caprice , Sc
de Fimagination deshommes?Allons
à Ia source de l’erreur.
C’est qu’en effet il y a une troisiéme
especedeBeau , qu’on peut appellef
arbitraire , ou artiftcjel, comme iî
vous plaira. Les Philosophes dont
je parle, en anront repiarqué sans
peine par-tout où ils ont été , à
la Çour & à la Ville, chez nous
parmi Ies étrangers. Un beau d§
îrait ; enfin , qui donne au corps
hurnain une espece de beauté spi*
rituelle.
Comment donc s’est-il trouvé de.s
esprits astez bizarres ou astez stu-
pides, ponr philosopher contre un
jiigement naturel st conforme à la
raison ? Comment s’en trouve-t-il
encore quelquefois dans certaines
eompagnies , qui voudroient faire
dépendre i’idée du beau de l’éduça-
îion , du préjugé, du caprice , Sc
de Fimagination deshommes?Allons
à Ia source de l’erreur.
C’est qu’en effet il y a une troisiéme
especedeBeau , qu’on peut appellef
arbitraire , ou artiftcjel, comme iî
vous plaira. Les Philosophes dont
je parle, en anront repiarqué sans
peine par-tout où ils ont été , à
la Çour & à la Ville, chez nous
parmi Ies étrangers. Un beau d§