sürleBeau.
irois premieresquestions proposéesr
La derniere, qui est plussubtile , de-
inandeun examen plus profond. II
s’agit de sçavoir, quelle est la forme
précise du beau dans les moeurs ? Je
veux dire , pour mettre la question
dans tout sonjour, ce qui dans les
mœurs, dans les sentimens , dans
les manieres , dans les procédés ,
eonstitue le vrai honnête, le vrai
décent , le vrai sublime , le vrai-
gracieux ; en un mot, la vraie beauté
morale de Thomme ?
Pour saîisfaire à toute sorte d’eL
prits , j’appuyerai ma réponse ,
comme dans le premier Discours
sur une autorité respeûable. C’est
l’unité, dit Saint Augnstin , qui est:
la vraie forme du bean en touî genra
de beauté. Omnïs porrbpulchritudinis
sorma unïtas ejl *. Nous avons déja
* S» Aog. Ef. rg. tiii. ppi DB. . ’.i
irois premieresquestions proposéesr
La derniere, qui est plussubtile , de-
inandeun examen plus profond. II
s’agit de sçavoir, quelle est la forme
précise du beau dans les moeurs ? Je
veux dire , pour mettre la question
dans tout sonjour, ce qui dans les
mœurs, dans les sentimens , dans
les manieres , dans les procédés ,
eonstitue le vrai honnête, le vrai
décent , le vrai sublime , le vrai-
gracieux ; en un mot, la vraie beauté
morale de Thomme ?
Pour saîisfaire à toute sorte d’eL
prits , j’appuyerai ma réponse ,
comme dans le premier Discours
sur une autorité respeûable. C’est
l’unité, dit Saint Augnstin , qui est:
la vraie forme du bean en touî genra
de beauté. Omnïs porrbpulchritudinis
sorma unïtas ejl *. Nous avons déja
* S» Aog. Ef. rg. tiii. ppi DB. . ’.i