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Pateris. Yoy. Ariiitié, Amour , Monjires«■
Parenté. Voy. Bienséance.
Parterre. Beauté de Passemblage des couleurs'
dans nos'Parterres, 1.P 33. Qiiand est ce'
qu’unPirterre est orné de toutes sès gracés ,.
II- P. i 33 & siiiv. Les sseurs ont des graces-
qüi charmetlt les yeux & touchent le coeur ,,
id. 1 3 s. Voy. Otfeaux
Parures. II faut garder la décence dans les pa-
rures , II. P. cS. Voy. Laideur.
PaJJions. Les pasïîons humaines ne tendent, It
on les laissoit feire, qu’à la destrudion to«
tale de l’homme , I. P. j6. «
Pathétiques. Ce qu’on entend par mouvemens
pathétiques, I P. 119. .e qu’on aime dans
les i)iIcourspathétiques, id. 130 & liriv.
Pour que les sèntimens , les images, les'
anouvemens forment dans un Ouvrage d’cs-
prit un Beau véritable , il fàut qu’ils y con-
viênnent, id. 133 Sr suiv. Fins auxquelley
on doit employer les mouvemens pathé-
tiques, id'. 133.
Patrie. Pourquoi tous les liecles ont- ils donné
tant d’éloges aux Amateurs de la Patrie,
I. P. 100. Où Pamour de la Patrie étoit la'
premiere leçon qu’on donnoit aux Enfans ,
II. P. n 3 & suiv. Yoy. Amour du Pubtic.
Quel étoit la force de i’amourpour la Pattie
cliez les Romains , II. P. 131. Exemplês,
ibid. & suiv. Voy. Amour du Public.
Peintre. Le fameux AppeJles, Peintre d’Ale-
zandre, ce qu’U condamnoit dans ceux’dq
Pateris. Yoy. Ariiitié, Amour , Monjires«■
Parenté. Voy. Bienséance.
Parterre. Beauté de Passemblage des couleurs'
dans nos'Parterres, 1.P 33. Qiiand est ce'
qu’unPirterre est orné de toutes sès gracés ,.
II- P. i 33 & siiiv. Les sseurs ont des graces-
qüi charmetlt les yeux & touchent le coeur ,,
id. 1 3 s. Voy. Otfeaux
Parures. II faut garder la décence dans les pa-
rures , II. P. cS. Voy. Laideur.
PaJJions. Les pasïîons humaines ne tendent, It
on les laissoit feire, qu’à la destrudion to«
tale de l’homme , I. P. j6. «
Pathétiques. Ce qu’on entend par mouvemens
pathétiques, I P. 119. .e qu’on aime dans
les i)iIcourspathétiques, id. 130 & liriv.
Pour que les sèntimens , les images, les'
anouvemens forment dans un Ouvrage d’cs-
prit un Beau véritable , il fàut qu’ils y con-
viênnent, id. 133 Sr suiv. Fins auxquelley
on doit employer les mouvemens pathé-
tiques, id'. 133.
Patrie. Pourquoi tous les liecles ont- ils donné
tant d’éloges aux Amateurs de la Patrie,
I. P. 100. Où Pamour de la Patrie étoit la'
premiere leçon qu’on donnoit aux Enfans ,
II. P. n 3 & suiv. Yoy. Amour du Pubtic.
Quel étoit la force de i’amourpour la Pattie
cliez les Romains , II. P. 131. Exemplês,
ibid. & suiv. Voy. Amour du Public.
Peintre. Le fameux AppeJles, Peintre d’Ale-
zandre, ce qu’U condamnoit dans ceux’dq