— xu —
pom concourir aa rétahlissement de l'ordre dans
tontes les parties de radminisliation.
Vous avez dignement répondu à Ses esperan.
ces. . . -
Ver s avez pcsé avec un respect religieux daiTc
vos conférences les facultés du Peuple , mais vous
avez cédé à ia nctessité* , qui est la première loi;
& en balançant les besoins de l'Etat avec ses mo-
yens , cette Assembléë a présenté à l'Univers le
speclacle touebant d'une gencreuse émulation de
sacrifices entre le Roi & la Nation. . , .
Vohs avez été le Conleil de votre Roi, & vous
avez préparé & facilité la révolution la plus déii-
rable , sans antre autorité que celle de la consian-
ce, qui est la première de toutes les puiïsances dans
le gouvernement des Etats.
La Nation , fidèle à son ancien caractère de lo-
yauté , n'a sait entendre aux pieds du Trône que
les nobles conseils de l'honneur & de cet amour
héréditaire pour ses Rois, qui est le pâtriotisme des
François. . - .
Sa Majesté désîre que le même esprit qui vous
anime , MM. se répande dans les Aiïemblées
qu'Elie daigne honorer de sa confiance ; & Elle
espère qu'après avoir montrésous sesyeuxun amour
Si éclairé du bien public , vous en développerez le
germe dans toutes ses Provinces. M
M, de Brienne, Archevêque de Touloufe , Ches
du Confeil Royal des Finances, a pris ensuite la pa-
t 5 rôle,
pom concourir aa rétahlissement de l'ordre dans
tontes les parties de radminisliation.
Vous avez dignement répondu à Ses esperan.
ces. . . -
Ver s avez pcsé avec un respect religieux daiTc
vos conférences les facultés du Peuple , mais vous
avez cédé à ia nctessité* , qui est la première loi;
& en balançant les besoins de l'Etat avec ses mo-
yens , cette Assembléë a présenté à l'Univers le
speclacle touebant d'une gencreuse émulation de
sacrifices entre le Roi & la Nation. . , .
Vohs avez été le Conleil de votre Roi, & vous
avez préparé & facilité la révolution la plus déii-
rable , sans antre autorité que celle de la consian-
ce, qui est la première de toutes les puiïsances dans
le gouvernement des Etats.
La Nation , fidèle à son ancien caractère de lo-
yauté , n'a sait entendre aux pieds du Trône que
les nobles conseils de l'honneur & de cet amour
héréditaire pour ses Rois, qui est le pâtriotisme des
François. . - .
Sa Majesté désîre que le même esprit qui vous
anime , MM. se répande dans les Aiïemblées
qu'Elie daigne honorer de sa confiance ; & Elle
espère qu'après avoir montrésous sesyeuxun amour
Si éclairé du bien public , vous en développerez le
germe dans toutes ses Provinces. M
M, de Brienne, Archevêque de Touloufe , Ches
du Confeil Royal des Finances, a pris ensuite la pa-
t 5 rôle,