éléments des lois, et par les autres comme moyens auxiliaires
de la jurisprudence ; 3° el-hadis el-ahad, les unités, c'est-à-
dire les traditions qui ont été connues depuis les temps des
tabis et de leurs élèves; ou plutôt celles dont l'origine remonte
à un seul compagnon. La jurisprudence les rejette dans les
cas sérieux, dès qu'elles ne s'appuient pas de quelques
preuves.
8° Sahih de Mosîime (même sujet).
9° L'Abrégé des deux Sahih.
10° Le Chifa du cadi Ayyadh, qui est la définition des devoirs
envers Mahomet.
11° Le Mouivalta ou aplanissement des difficultés du droit
musulman, par le fondateur de la secte malékile.
12° El-Mmiadjizat el-Koubra, ou les principaux miracles du
Prophète, par Es-Soyouthi.
13° Les Chemaïl de Termédi qui contiennent la description
des qualités du Prophète, sa vie intime et sa politique.
14° VIktifa d'Abour-rebie-el-Kilaï, comprenant la naissance
de Mahomet, son origine, sa jeunesse, sa mission prophétique,
la révélation qui lui a été faite du Koran, sa fuite à Médine et
sa mort. Le livre se termine par l'histoire des trois successeurs
de Mahomet, les seuls qui soient regardés comme légitimes
par les Sounnites conformément à ces paroles du Prophète :
« Après moi le khalifat durera trente ans. »
Une nouvelle compensation paraissait réservée à Ahmed-
Baba. Tandis que sa voix éloquente s'exerce à communiquer
aux intelligences qui l'entourent la connaissance de la rhéto-
rique, du di'oit et de la théologie, mais surtout du droit, sa
sagesse est comme mise à l'épreuve. Des questions de la plus
haute gravité lui sont soumises par les représentants de la
magistrature, et ses réponses deviendront des arrêts sans
appel. C'est lui-même qui nous en fait sincèrement la confi-
dence dans le passage qui suit : « Maintes fois j'eus l'occasion
de prononcer des décisions, soit par écrit, soit de vive voix ,
de la jurisprudence ; 3° el-hadis el-ahad, les unités, c'est-à-
dire les traditions qui ont été connues depuis les temps des
tabis et de leurs élèves; ou plutôt celles dont l'origine remonte
à un seul compagnon. La jurisprudence les rejette dans les
cas sérieux, dès qu'elles ne s'appuient pas de quelques
preuves.
8° Sahih de Mosîime (même sujet).
9° L'Abrégé des deux Sahih.
10° Le Chifa du cadi Ayyadh, qui est la définition des devoirs
envers Mahomet.
11° Le Mouivalta ou aplanissement des difficultés du droit
musulman, par le fondateur de la secte malékile.
12° El-Mmiadjizat el-Koubra, ou les principaux miracles du
Prophète, par Es-Soyouthi.
13° Les Chemaïl de Termédi qui contiennent la description
des qualités du Prophète, sa vie intime et sa politique.
14° VIktifa d'Abour-rebie-el-Kilaï, comprenant la naissance
de Mahomet, son origine, sa jeunesse, sa mission prophétique,
la révélation qui lui a été faite du Koran, sa fuite à Médine et
sa mort. Le livre se termine par l'histoire des trois successeurs
de Mahomet, les seuls qui soient regardés comme légitimes
par les Sounnites conformément à ces paroles du Prophète :
« Après moi le khalifat durera trente ans. »
Une nouvelle compensation paraissait réservée à Ahmed-
Baba. Tandis que sa voix éloquente s'exerce à communiquer
aux intelligences qui l'entourent la connaissance de la rhéto-
rique, du di'oit et de la théologie, mais surtout du droit, sa
sagesse est comme mise à l'épreuve. Des questions de la plus
haute gravité lui sont soumises par les représentants de la
magistrature, et ses réponses deviendront des arrêts sans
appel. C'est lui-même qui nous en fait sincèrement la confi-
dence dans le passage qui suit : « Maintes fois j'eus l'occasion
de prononcer des décisions, soit par écrit, soit de vive voix ,