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* La main qui te touche, sera exempte de contrariété
(refus).
» L'œil qui te regarde, est à l'abri de tout malheur. »
Ces deux vers sont brodés en or sur un sachet en velours
vert qui a appartenu à une des femmes de Salah-bey.
« Ceci est le sépulcre du vertueux jurisconsulte Ahmed-
ben-abd-eldjelil, que le Trè;-haut le reçoive dans le sein de
sa miséricorde ! — Il mourut le 21 du mois de safar, l'an
1201 (de J.-C. 1780). »
Inscription sculptée en caractères mogrebins sur une
planche posée à la tête du mort. Du côté des pieds, on lit
sur une tablette en bois, à peu près ronde comme l'autre,
deux vers bien h appés, dont la pensée hardie ne laissera pas
d étonner le lecteur qui s'est habitué à ne voir chez les mu-
sulmans qu'humilité et résignation.
(K° 29.)
* La main qui te touche, sera exempte de contrariété
(refus).
» L'œil qui te regarde, est à l'abri de tout malheur. »
Ces deux vers sont brodés en or sur un sachet en velours
vert qui a appartenu à une des femmes de Salah-bey.
« Ceci est le sépulcre du vertueux jurisconsulte Ahmed-
ben-abd-eldjelil, que le Trè;-haut le reçoive dans le sein de
sa miséricorde ! — Il mourut le 21 du mois de safar, l'an
1201 (de J.-C. 1780). »
Inscription sculptée en caractères mogrebins sur une
planche posée à la tête du mort. Du côté des pieds, on lit
sur une tablette en bois, à peu près ronde comme l'autre,
deux vers bien h appés, dont la pensée hardie ne laissera pas
d étonner le lecteur qui s'est habitué à ne voir chez les mu-
sulmans qu'humilité et résignation.
(K° 29.)