— IGO —
phamo, a vécu 85 ans. Ci-gît. > La gravure des lellrcs n'esl
pas sans élégance. Hauteur du cippe 1m. 10, largeur Om 55.
N° 93. — Lucius CaJcilnis Birzil vixit annis octoginta quin-
gue. Hicsituse.it. « Lucius Calcilius, surnommé Birzil, a vécu
85 ans. Ci-gît. »
Caractères de la basse époque gravés sur une pierre à peine
taillée.
N° 94.
CAVRONIVS
MELICIOVIX1T
ANIS LXXXXV
H O TBQ
Cains Avronius Mclicio vixit annis nonaginta quinque. Hic
ossa tibi benè quiescant! « Caïus Avronius, surnommé Melieio,
a vécu .95 ans. Que tes os reposent ici en paix ! »
Sur une pierre tombale de 0m 90 sur 0'" 31.
N° 95.
■ • N • • VIA
LF MASAC
A V FXLV
Épitaphe mal dessinée, sur une dalle grossière. Je ne l'ai
copiée que pour enregistrer le mot Masac, qui a l'apparence
d'un nom numidique et que nous placerons à côté des mots
Mascel et Mazamba, qui ont été remarqués au Musée et dans
la collection de M. Bruyas. A l'appui de cette conjecture, je
citerai une observation de M. Et. Quatremère {Journal des Sa-
vants, juillet 1838): « Nous avons vu que dans les noms numides
un grand nombre commençaient par la syllabe mas, qui se
changeait quelque fois en mis. Nous trouvons chez les écri-
phamo, a vécu 85 ans. Ci-gît. > La gravure des lellrcs n'esl
pas sans élégance. Hauteur du cippe 1m. 10, largeur Om 55.
N° 93. — Lucius CaJcilnis Birzil vixit annis octoginta quin-
gue. Hicsituse.it. « Lucius Calcilius, surnommé Birzil, a vécu
85 ans. Ci-gît. »
Caractères de la basse époque gravés sur une pierre à peine
taillée.
N° 94.
CAVRONIVS
MELICIOVIX1T
ANIS LXXXXV
H O TBQ
Cains Avronius Mclicio vixit annis nonaginta quinque. Hic
ossa tibi benè quiescant! « Caïus Avronius, surnommé Melieio,
a vécu .95 ans. Que tes os reposent ici en paix ! »
Sur une pierre tombale de 0m 90 sur 0'" 31.
N° 95.
■ • N • • VIA
LF MASAC
A V FXLV
Épitaphe mal dessinée, sur une dalle grossière. Je ne l'ai
copiée que pour enregistrer le mot Masac, qui a l'apparence
d'un nom numidique et que nous placerons à côté des mots
Mascel et Mazamba, qui ont été remarqués au Musée et dans
la collection de M. Bruyas. A l'appui de cette conjecture, je
citerai une observation de M. Et. Quatremère {Journal des Sa-
vants, juillet 1838): « Nous avons vu que dans les noms numides
un grand nombre commençaient par la syllabe mas, qui se
changeait quelque fois en mis. Nous trouvons chez les écri-