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Judas, Auguste Célestin: Addition au mémoire sur les inscriptions numidico-puniques de Constantine: (voir l'annuaire de 1860-61)
DOI Page / Citation link: https://doi.org/10.11588/diglit.9387#0076
est une réduclion de l'arbre noueux, ce qui est en outre
confirmé par deux des dessins que M. Cherbonneau m'a
envoyés en dernier lieu, savoir le n° 4, dont j'ai analysé
ci-dessus l'inscription, et l'un des fragments anépigraphes
dont, pour ce motif, je reproduis la copie, planche 13, vi a :
en effet ces dessins représentent clairement, au pied de
la figure, le sol dans lequel l'arbre est planté.
En même temps que M. Beulé éditait à Paris ses
Fouilles à Carthage, M. Davis, qui s'était trouvé avec lui
sur le même champ d'exploration, publiait à Londres le
résultat de ses propres recherches sous ce titre : Car-
thage and lier remains (Carthage et ses restes). En regard
de la page 256 est une planche qui donne le dessin de
deux des quarante inscriptions mentionnées en note aux
pages 86 et 87 de mon mémoire. L'une des stèles porte
au sommet, dans la pointe triangulaire, la figure anthro-
pomorphe, puis dans le champ, au-dessous de l'inscrip-
tion, deux avant-bras droits dressés, la paume de chaque
main en avant, et, entre ces avant-bras, la figure trifoliée
qui termine chaque branche latérale sur le fragment
rapporté ci-dessus d'après M. Beulé. Sur la pierre qui
porte dans Gesenius le nom de Troisième Carthaginoise,
on voit au sommet, dans le compartiment pyramidal,
l'avant-bras droit et la main, puis dans le champ, au-
dessous pareillement de l'épigraphe, la même figure tri-
foliée, mais accostée de deux figures anthropomorphes
portées chacune sur une base rattachée par un filet à
l'image centrale. Cette figure trifoliée, ainsi isolée, repré-
sente donc l'arbre et elle sert d'intermédiaire à la repré-
sentation plus simple encore au moyen d'une feuille dont
j'ai parlé en note à la page 79 de mon mémoire ; sous
confirmé par deux des dessins que M. Cherbonneau m'a
envoyés en dernier lieu, savoir le n° 4, dont j'ai analysé
ci-dessus l'inscription, et l'un des fragments anépigraphes
dont, pour ce motif, je reproduis la copie, planche 13, vi a :
en effet ces dessins représentent clairement, au pied de
la figure, le sol dans lequel l'arbre est planté.
En même temps que M. Beulé éditait à Paris ses
Fouilles à Carthage, M. Davis, qui s'était trouvé avec lui
sur le même champ d'exploration, publiait à Londres le
résultat de ses propres recherches sous ce titre : Car-
thage and lier remains (Carthage et ses restes). En regard
de la page 256 est une planche qui donne le dessin de
deux des quarante inscriptions mentionnées en note aux
pages 86 et 87 de mon mémoire. L'une des stèles porte
au sommet, dans la pointe triangulaire, la figure anthro-
pomorphe, puis dans le champ, au-dessous de l'inscrip-
tion, deux avant-bras droits dressés, la paume de chaque
main en avant, et, entre ces avant-bras, la figure trifoliée
qui termine chaque branche latérale sur le fragment
rapporté ci-dessus d'après M. Beulé. Sur la pierre qui
porte dans Gesenius le nom de Troisième Carthaginoise,
on voit au sommet, dans le compartiment pyramidal,
l'avant-bras droit et la main, puis dans le champ, au-
dessous pareillement de l'épigraphe, la même figure tri-
foliée, mais accostée de deux figures anthropomorphes
portées chacune sur une base rattachée par un filet à
l'image centrale. Cette figure trifoliée, ainsi isolée, repré-
sente donc l'arbre et elle sert d'intermédiaire à la repré-
sentation plus simple encore au moyen d'une feuille dont
j'ai parlé en note à la page 79 de mon mémoire ; sous