l'invocation gravée en tête de chacune des inscriptions
qu'on y voit.1
Une quarantaine d'ëpilaphes, déplacées par la stupidc
avidité des indigènes, gisent au bord des fosses vide?
où l'herbe a remplacé la poussière des ossements. Je les
ai copiées sans beaucoup de peine : mais les moyens
m'ont manqué pour déterrer toutes celles dont j'aper-
cevais le sommet à fleur de terre :
N° 129. N° 130. N° 134.
DM D M S DM
POCTAVA . -VET- QCORNELI
MESSORV NISTRVIA VS-CRESC
T AN MIS V AN!S ENS • V . A
CV CXXV CV1!
N° 429. — Diis manibus. Publia Oclavia Messor. Vixit
annis cenlum et quinque. — Encadrement autour de
l'épitaphe. Long. 0m72 ; larg. 0m37.
N° 430. —Diis manibus sacrum. . . Nislruia (?). Vixit
annis cenlum et vigïnti quinque. — Sur une mauvaise
dalle encore debout; caractères informes. Haut. 0m73.
N° 434. — Diis manibus. Quintus Cornélius Crcscens.
Vixit annis cenlum et septem. — C'est par erreur que
M. Vicrey attribue cette épitaphe aux ruines d'Arsacal
i L'invocation est composée des quatre lettres GDAS, que M. Léon Re-
nier traduit par le; mots « Genio D... Auguslo sacrum. » Dans l'esprit du
savant épigrapliiste, le D est l'abréviation du nom de la montagne. J'ajou-
terai que l'expression « Clieliâha « représente le mot « Du met uni » des
Latins.
qu'on y voit.1
Une quarantaine d'ëpilaphes, déplacées par la stupidc
avidité des indigènes, gisent au bord des fosses vide?
où l'herbe a remplacé la poussière des ossements. Je les
ai copiées sans beaucoup de peine : mais les moyens
m'ont manqué pour déterrer toutes celles dont j'aper-
cevais le sommet à fleur de terre :
N° 129. N° 130. N° 134.
DM D M S DM
POCTAVA . -VET- QCORNELI
MESSORV NISTRVIA VS-CRESC
T AN MIS V AN!S ENS • V . A
CV CXXV CV1!
N° 429. — Diis manibus. Publia Oclavia Messor. Vixit
annis cenlum et quinque. — Encadrement autour de
l'épitaphe. Long. 0m72 ; larg. 0m37.
N° 430. —Diis manibus sacrum. . . Nislruia (?). Vixit
annis cenlum et vigïnti quinque. — Sur une mauvaise
dalle encore debout; caractères informes. Haut. 0m73.
N° 434. — Diis manibus. Quintus Cornélius Crcscens.
Vixit annis cenlum et septem. — C'est par erreur que
M. Vicrey attribue cette épitaphe aux ruines d'Arsacal
i L'invocation est composée des quatre lettres GDAS, que M. Léon Re-
nier traduit par le; mots « Genio D... Auguslo sacrum. » Dans l'esprit du
savant épigrapliiste, le D est l'abréviation du nom de la montagne. J'ajou-
terai que l'expression « Clieliâha « représente le mot « Du met uni » des
Latins.