no DOCTRINE DE L'EGLISE
ne voulait pas reconnoître que Je passàge de
l'Apôtrâ Te dût entendre de la Foi qui nous
Exponîs rend fidèles : VOVSexpU quez. félon votre
m sapis, penfee> lui dit- il, ce passaae: Tout ce qui ne vient
non ut sa- 1 ■ , r . ni/ ■
pictesti- sotnt 4e la sot9 ejt pèche : mais non sélon son
monium verit4yie sëns. Ce qui lui fait conclure har-
nequod aiment que, a les Infidelles ont accompli
ïdî,epe" €n quelque sorte la Loi ; mais que tout ce
catumest. qu'ils ont fait n'a pas laisse d'être péché 5
Be/ej" parce que dans toutes leurs sciions ils ne le
S uss point proposé la fin qu'ils dévoient.
Saint Prosper dans son Poème chapitre
fecerunt : j
hoç tamen
■peccunes,
mfnel'sine bCu4R jî nos action squelque bonnes en foi
fide, non J\Je Cent des sruits naissans du germe de la,
adeum r ■ A
finemista J°* • '
tÉmm QHeHue attrait specieux qui nous les rende
adqaem aimable S)
boemnr ~ ^$e{ sont ^es pec^>e^ ^ nous rendent coupa-
rvjotn- bles.
ne ete-
cimpro-
bkKiSnTi ^n Peut encore ajouter à ces autorités
celle du sécond Concile d'Orange , qui
turfidd"" ProP°^è comme Article de Foi, ces maxi-
pcccatum mes de S. Augushn : c LA concupifcence du
reatnm"6 monde sait la sorce des infidelles can. 17. Et
verdtur...dans le 22. can. PERSONNE n'a en
Itud^-°r* sit même que menfonge & péché. Car si la
nemgen- force (jgs Païens (il n'y a point de raiion qui
tihum A , . i- t a 1 r j
mundana nous empêche de dire la même choie de
cupiditas
ftcit,can. 17» Nerao habecds suo nisi mendacium Se peccattim.
leur
ne voulait pas reconnoître que Je passàge de
l'Apôtrâ Te dût entendre de la Foi qui nous
Exponîs rend fidèles : VOVSexpU quez. félon votre
m sapis, penfee> lui dit- il, ce passaae: Tout ce qui ne vient
non ut sa- 1 ■ , r . ni/ ■
pictesti- sotnt 4e la sot9 ejt pèche : mais non sélon son
monium verit4yie sëns. Ce qui lui fait conclure har-
nequod aiment que, a les Infidelles ont accompli
ïdî,epe" €n quelque sorte la Loi ; mais que tout ce
catumest. qu'ils ont fait n'a pas laisse d'être péché 5
Be/ej" parce que dans toutes leurs sciions ils ne le
S uss point proposé la fin qu'ils dévoient.
Saint Prosper dans son Poème chapitre
fecerunt : j
hoç tamen
■peccunes,
mfnel'sine bCu4R jî nos action squelque bonnes en foi
fide, non J\Je Cent des sruits naissans du germe de la,
adeum r ■ A
finemista J°* • '
tÉmm QHeHue attrait specieux qui nous les rende
adqaem aimable S)
boemnr ~ ^$e{ sont ^es pec^>e^ ^ nous rendent coupa-
rvjotn- bles.
ne ete-
cimpro-
bkKiSnTi ^n Peut encore ajouter à ces autorités
celle du sécond Concile d'Orange , qui
turfidd"" ProP°^è comme Article de Foi, ces maxi-
pcccatum mes de S. Augushn : c LA concupifcence du
reatnm"6 monde sait la sorce des infidelles can. 17. Et
verdtur...dans le 22. can. PERSONNE n'a en
Itud^-°r* sit même que menfonge & péché. Car si la
nemgen- force (jgs Païens (il n'y a point de raiion qui
tihum A , . i- t a 1 r j
mundana nous empêche de dire la même choie de
cupiditas
ftcit,can. 17» Nerao habecds suo nisi mendacium Se peccattim.
leur