Dessin, Peinture , ARCHrT'. zq$
touleurs tislus ensemble, lorsque ces fils seroient .' ~’ a
ii déliés, qu’il fût impossible de les distinguer les A™o' 173
uns des autres, même à une petite distance. Ceci, c
avec la méthode de représenter un objet vilibse ïmpseiiîon
1 J qui imicé la
avec un petit nombre de couleurs, i’a conduit à peinturc.
produire, par le moyen du métier de tnïerand ,
tout ce qu’on peut exiger dans i’art de peindre.
J’explique ici de queiie manière M. ie Biond fait
tijfer des tapisseries -, ceux qui ont vu des mé-
tiers de tisserand , s'imagineront assez aisément
quelie est la méthode de M. le Biond.
A R T I C L E II.
Manière de repréfenter la nature beaucoup plus
vivement quen peinture , & fur une nouvelle
efpèce de carte en bas-relief’. Communiquéc
par J. Evelyn.
Nous avons dans notre voifinage un François
oui imite si parfaitement la nature en cire, qu’on Ann. îcgj.
préfère ses ouvrages à un tableauj ii modèie ses N°‘
sigures si parfaitement, ses couleurs 8c ses ombres «n
sont si vives & si bien distribuées, que je n’ai rien cue‘
vu de sembiable en peinture. II se propose d’alier
cn Angleterre avec quelques-unes de ses figures.
J ai aussi vu une espèce de cartes en bas-relief,
comme sîie d’Antibes} sur un quarré en bois d’en*
Tome IL O
touleurs tislus ensemble, lorsque ces fils seroient .' ~’ a
ii déliés, qu’il fût impossible de les distinguer les A™o' 173
uns des autres, même à une petite distance. Ceci, c
avec la méthode de représenter un objet vilibse ïmpseiiîon
1 J qui imicé la
avec un petit nombre de couleurs, i’a conduit à peinturc.
produire, par le moyen du métier de tnïerand ,
tout ce qu’on peut exiger dans i’art de peindre.
J’explique ici de queiie manière M. ie Biond fait
tijfer des tapisseries -, ceux qui ont vu des mé-
tiers de tisserand , s'imagineront assez aisément
quelie est la méthode de M. le Biond.
A R T I C L E II.
Manière de repréfenter la nature beaucoup plus
vivement quen peinture , & fur une nouvelle
efpèce de carte en bas-relief’. Communiquéc
par J. Evelyn.
Nous avons dans notre voifinage un François
oui imite si parfaitement la nature en cire, qu’on Ann. îcgj.
préfère ses ouvrages à un tableauj ii modèie ses N°‘
sigures si parfaitement, ses couleurs 8c ses ombres «n
sont si vives & si bien distribuées, que je n’ai rien cue‘
vu de sembiable en peinture. II se propose d’alier
cn Angleterre avec quelques-unes de ses figures.
J ai aussi vu une espèce de cartes en bas-relief,
comme sîie d’Antibes} sur un quarré en bois d’en*
Tome IL O