Le charivari (11.1842)

0n a l'air aux C01 N
0mme Paltoqu°e%
Prenne un peu> m tj %

colons me croient n ^
sous terre avec
18 j'en suis revenn %«1
A l'heure

aia disposition,'Je%
évince; je marc> 1,
le parasites qui baiJ°(%
»ute, on m'admire i ias

a Pcs'e, le gouve^

e rentre chez moi ]l h<
«s qui Portent des fliat
nt de la flûte. 0û>
ÇOU; je pourrais mep "
au pouvoir; maiS); !'
ment aux colonies.

simple pour craindre^,
me charge de vous g» J1

ae brûlera une fameUse
n'ai deux mots à ce
je le démolis; voilàle^

ainsi pour les Antilles

lnent tranquillement au fo

'ingt mille francs par an r>
'ard. Moi j'ai entamé um,
agnoles; mon ambassadeur
avoirs ; Sitôt qu'il estde
demande la reine d'Espi,

nés deux volumes de voyi
presse, ils vont paraître,
tience. Jamais on ne vit un
ut quarante-cinq mille en
contenant un feuilleton
dé un escadron de gardei
queue à la porte de moi

, je rédige le Globe, lejj,
[ue journal de Paris. Jei
s, je fais une alliance avec
ous, que faites-vous?
Voici un an bientôt que je s
1 venir du côté des cotai
nnent pour dit; elles mec
'où va ma puissance. Si e!
les à mes efforts, je les ab;
irope. Entre nous, il y a bei
dont vous traitez les esclave
... Je ne dis pas «A ion >
ue jusqu'à nouvel ordre j:i
t des colonies,
ami,

GRANIER (CE CASSAGSAC.)

se met décidément sut l
îtion académique. Onratt
l'Opéra un trait qui sent

ivrée accomplissait ses tR-
3S il entrait dans le salon-
académicien. L'a, sans ai-
de ses lèvres ce peu de F

6 w

avancer un fauteuil et M

-même?» fut

i«ina que le palais des !|

ue se passe-t-il donc,
lines.

vos choix politiques qujj

a choix littéraire Or

erez obligé de nomm«
ue. Eh bien ! m01' j
ie député, etlaÇrg0£ji
:eur classique, J P s
à l'Académie, et je

(La suite à

POLITIPUE DES FLWMES