Le charivari (11.1842)

POLITIQUE DES FEWPKES

•egrelter Massol,
loue émeltre une
r' Raoul bordelais
Yix dans les noies
tfalheureusemeut
, el le chanteur
lissimuler ce dé-
son rôle, qu'un
i septuor du duel
été obligé de re-
foules les autres
i caniàbile qu'il
nt l'illustre lénor
ternent ferré sur
i dit la romance
té faux la phrase
, enchanteresse'.
tuor sans accom-
e qui marche ra-
•ché du tout ce
tne acte, malgré
, qui a rendu sa
é entièrement dé-
l'as dit, oui, tu
lenot s'est rendu
des gardes dans
>ns dire qu'il n'a
oi, le grand ténor
ration, qui, en ré-
nps en temps Ro-

s ae m. Opinasse
ar nous ne l'avons
Cspinasse (Arthur)
it absolument dé-
laguenot, manque
'a encouragé ,com-
t fait de même si
une chaleur de 30

les journaux ba-
e gémit, elle fond
ses lamentations,
>n nommé Canap'e,
ccès. L'illustre Ca-
epart pourBruxel-
assol. Hier Massol
ryton, demain il se
es. Ténor, baryton
a-dire un homme
er qu'en l'appelant
î mot de musique,
baryton; maisn'im-
t l'illustre Alizard,
, et qui, sans rien
enthousiasme dans
lit trépigner la salle
à la pensée de Ros-
;re barytons,y c-om-
drais bien savoir ce
ous ces barytons?
is faire prendre pa-
cilla de MM. Ain-
i Rosière de Garni,
t-Georgeset Albert.

Commïiïucation cles Pieces

it des témoignages
ais. Us seront bien-
uvent plus anglais