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Prix : H Oentlmet. — Avec deux Supplêmtnli (Suit* di II Uiti du Prlscnm'in) ; 18 Centimes

Durleiille, le 4 Juin 1918.

Gazette des Ardennes

JOURNAL DES PATS OCCUPES PARAISSANT DEUX FOIS PAR BEMAINE

I- l Oc s'abonne dans tous le* bureaux de poste

QUELQUES LETTRES

Lorsqu'à* jour, i* paix étant revsnue, le peuple fran-
çais m Mn débarrassé de l'iveuglmle oniipérallou que
lui Inculque, en don» quotidiennes toujours plui lotte»,
une pressa servante du gouvernement, lorsqu'il cherchera
sincèrement k voir clilr dui l'enchevêtrement des tiiti
el de* uuin qui préparerenl 1* c*l*tlroph* européenne
qiMlli m ter* pas sa stupéfaction, en découvrant combien
umbraui. éloquents et sincères lurent les avertisse m cuit
qu'il m voulut point entendre I

Celte guerre, rendue inévitable par une politique
d'intrigue hilneute et rancunière, nourrie et eiploitée

voysnls et freinent patrfolea l'ont prévue el loulurent
l'écarter. Nombreux lurent ceux qui pressentirent, entre
■utra, que celle Alliance lrauco russe, fondée dsns un but
Soi-disant délemil el destinée 1 « préserver n la France,
Unirait par entraîner celle dernière dim une guerre pour
de» Intérèli qui ne seraient pas les siens. Si, parmi cea
prophèla* qui turent prévoir ce qui a'eat réellement
produit l'été patte, Il en a*lcertain) qui, eu* me M. Mar-
tel Sambal, aujourd'hui membre du Cabinet Vivlani, ont
eru deTojraicrlflir leur libre clairvoyance d'autan !• celle
politique go u Tarn aman la le qu'Ile croient être aujourd'hui
l'Intérêt vital de leur paya, la réquitiloire qu'Us pronon-
cèrent naguère retrouvera on jour — et serait ce malgré
aux t — louta sa vigueur jualiclère.

Noua n'essayeront pet d'ènumérer ici les ouvraget,
brochures, artiole* SI discours,où le bonseni prodiguasse
»v»rilss«m*nts. Nous nous contenterons de me tire sous les
veux de nos lecteurs quelques lettres oubliées, émanant
d'un homme d'Etat français mort aujourd'hui, mais qui
occupa une des pins hautes tflualionidana la République.
Ce* lettres, noua lee empruntons a ta « Dnaehe Httvt v
(mai ma). La publient' qat les commeel*. lee tleot de
lt jr desliotn n. il tl: e qde celui qui lee écrivit lot l'on
ées rare* hommes nautiques français qui cherchèrent
slnoérerrent t arracher leur pin tua Influentes dsnge

ae rtjou+r du moindre tympiom* dr détente .euro-
péenne Cltuu* p. a telle lettre écrite t la tulle de
l'aeseMiMt d» Président Carnet ;

Parle.'«-Joie mt
Tti reçu Vos doux lettres du 2* et du 25 de ce mois
et je Vous remercie de la sympa'.hie que Vous exprimer
pou le, Frence et Je atelheur qui nous frappe en ce
iwéimit Noua avoue [ait hier une chose excellente en
oommenl M, Casimir-Pèner. liais la tâche que nous
loi imposons est bien lourde.

Le télégramme de l'Empereur d'Allemagne lui lait
grand honneur ; U fait »Oir une sympathie sincère et

, Et colis d encore : ^- ^ ' ^

Je suis heureux que lee léte* de Kiel se soient si
bien psaeéee. Le jeune Empereur s eu un grand succès.
Le canal Guillaume sera utile surtout à la Prusse ;
piai» il le sera aussi a toutes lee mari nés du monde es
leur évitant le passage du Sund. Il y a longtemps que
ce grand ouvrage aurait dû être fait. Mais le Danemark
n'était pas assex riche pour l'entreprendre quand cea
territoire» lui appartenaient.

Mailles principaux passages de ces lettres se rapportant
| l'Alliance franco-russe et aux dangers qu'elle compor
lait des la première heure. Voyons es qu'écrit a ce sujet
l'homme d'Etat français ; * ,

Psris, Î7 octobre 1893.

I Cher Monsieur,

Voua pouTea Vous figurer ce que je dois penser des
f«ee franco-russes. Je ne Mime pu la Russie; et je
crois qu'elle ne fait que poursuivre le cours des
destinées qu'elle se promet, .tfonje croit aueti que ma
pairie s* trompe absolument cl quelle peut paver fort
cher cette énorme erreur. Malheureusement, mon
opinion est bien peu partagée; et raffolement ett
aussi aveugle qu'il titati en juillet Wv. Comme alors,
c'est le gouvernement qui est aujourd'hui le promo-
teur de cet enthousiasme qui n'a pas de raison d'ocre.
Ce n'est pas ta nation qui a réclamé la visite à
Oonstadt. Ce sont de* Intermedlsires qui se sont crus
de très fins politique*. La France n a pas A rechercher
d'allié* ; elle a tant i faire cbei elle qu elle peut
s'occuper uniquement de ce soin. Bile devrait, avant
Joui, refaire ses force* morale* qui sont bien atteinte*.

Parla. - - décembre 1893.

Je*père comme Von* que la paix ne sera pas
troublées* IMM, pas plus qu'en 18*3. Mat» je P*w
orotr»>ma la Ruseie et la France et soient rapprochées
pour ne rien faire dam leur intérêt réciproque.
Songea qu'elle* peuvent immédiatement mettre sur
pied deux million* de soldats. Nepass'en serva-terail
' IÉH emtraora'inaire Voua connaisses bailleurs mon
opinion sur U rôle que la RueeU prétend jouer dans
mot affairée tf Occident Elle ne peu. qu y faire du mal,
tandis qu'elle fait grand bien dans l'Asie centrale.

' Parla. 5 juin ilSI.

La réduction des dépense* militaire» est fort dési-
rable, mai* je n'y crois pas- <* **™lï * ^ Ruuie """
tout de donner Cewemple, parce que rten ne la menace;
mais son ambition M'accroît plutôt quelle ne diminue.

l'a rit, fi décembre IrlM.
Le rapprochement de l'Angleterre et de la Russie
serait une garantie assurée de la paix, pour quelques
année* ; mal* un* liaison solide entre elles est bien
Improbable. Le*- intérêt* sont trop opposé*. U. le
prince de Bismarck l'a dit dans son langage pit-
toresque : la baleine et l'éléphant ne peuvent guère
s'entendre. En attendant on peut provisoirement
compter «or la paix en 189B et ISP*. Cest dé|* beau-
«"P- t^laststaiW.
' Js crois avec Vous que 1* pêim ae sera pas MaaWe*
cette année; mais l'équilibre est toujours bien ins-
table ' et ae n'eet pat c Alliance franoo+uee» qu» le

Qu'a]oulerlons-n<
nobles vol i qui nvcrlireul eu vital

BULLETINS OFFICIELS ALIHAK

de lortts masses, une contre alleque le lung de la route
ils furent cependant repousses tur
: des perles extrêmement sensibles.
Uans ta nuu nous avons retiré Is laible garnison de la
parti* Est d'Ablain, dont le maintien dans cette poiilion
avancée n'aurait lail que coûter du sang inulilement, sur
la prochaine ligne tiiuée immédiatement derriÈr* ;
l'ennemi ns s'operçùl pas de la manrruvre. Au sud de
Souchei une' tenlaiivc d'attaque lrai.i;aise lut «loulfée
hier toir psr nuire leu. Le chaleau^do Caneul, situé tu

pris, est toujours eu notre possession.

Au sud est de Neuville nous avons repow'i
des poussées ennemies eolreprises a l'aide t
de grenades a main. Au liais Ltpretre, au no
Puni a Mouiaon, lui Frascais semblèrent «v
une sltaque imporlanla, comme le soir du 27
—; Quelqï---"

des perles sanglanles. Nos t

endroits iortifies (iravehnes et Dunkerque,

Saint-Omer, lieu d'étape: tur un champ

-V. de Fumes, quelques b

rat. •

s por-
supérieur de

ruatré de la fi
la Dubiasa, les Hunes allsquèrenl sana
de Kurlowiany et au sud est de Klelmy. Au cours des

coup d'endroits, jelé par des»us le fieuve. Dins la poursuite
Doua avons fait encore 3HU prisonniers.

r*rd(re di la eurrre au Sud-Ert. — Nos troupes sp sont
spproebées davantage du front nord de Priemj-sl. Sur le
front entre Wysinia et le secteur de la Lubaciowua (i
l'esl de Madymno et de Jaroalsw) les Russes onl tenté
pluaieura attaques désespérées, lit lurent partout
«poussés avec de lourdes pertes. Le 17il< d'Infanterie

saire n'a pas renouvelé ses attaques.

TAedlrr de la guerre d COutir. — Après dit heures de
préparation par l'artillerie, les Français attaquèrent, i
minuit, nos positions t l'est du canal de l'Vuer, au nord
de la ferme d'Houdt, L'attaque lut repousfée, sur tout le

nombre de louavcs, appartenant a quatre régiments
dirent, furent laits prisonniers. Entre le canal de La liaasée
St Arras i! n'y eut que des combats d'artillerie. A la route
de BétbuDB-Suucbez noua avons lail prisonniers quelques
domaines de Français noirs, qui s'étaient cachés dans un
polit bois. Le bombardement coulunner drs localltèt
derrière notre front par les Alliés a de nouveau lait,
parmi les I*.
attachement d

■a loyers, d

Th/iUrt dt la jve.rrr à tEit. — Près d'Illokl, i 60 kllo-

repouhaé par noire cavalerie "dans la direction nord el
nord-est. A la Dublssa un petit detarhemenl allemand
dut évacuer, par tuile d'une tttaque imprévue de la part
des Russes, ls localité de Sawdyniki ; quatre cinona
tombèrent entre les mains de l'ennemi. Nos reuforls
survenus reprirent le village et chassèrent l'adversaire.

Liant la région de Snwle des attaquée ennemies lurent
repousséoa ; l'adversaire aubil de gravea perles.

ThiiUri de la ouerre nu Sud-Hit. — Lors d'atl.iques
russes conlre des troupes allemandes au couru Inférieur
de la LubaciOH ka (au nord-esl de Jaroslau), ainsi que
dans la contrée de Slry], l'ennemi subit de graves parles.

J Mottede la Querreà COuri!.— Les Français essai 6 renl

verslé* konte>euville-Roclincourt. l'adversaire a essayé
de s'spprochrr ces jour, derniers au ntoyende sape-. Une
attaque sur celte ligne élalt attendue de notre pari, alors
que tous lea eflom tendant a nou» refouler hors d i nos
positions, situées plus su nord, avaient éc mué.
tlle eut lieu hier après midi, après une prépaiition
d'arlilleriede plusieurs heurei el se termina, gract a la
bravoure dequrlques régiments rhénans et bavarois, par
une défaite complde de 1 adversaire. Ses perles sont
eitraordinalrement grandes.

Au bois Le Prêtre, les Français parvinrent é pénétrer
dans quelques tranchées avancées et faiblement occupée*:

, Oslend

s d* c

Le viaduc de Donuemarie, remis depuis quelques
jeura a la circulalion pjr les Frinçais apréa un l aval!
opiniii'e de quelques mois, a été détrull hier par quel-

11 rUdtrt de la atterre A (Bit — Sans événements
Importants.

ÏMiir! de la guerre au Sud-Eit. — Dans les eorabati
de l'rremyil, let Iroupei allemandes se rapprochèrent
hier du front nord et nord-eat.

Ortnil Ossm« (tutrii i- juin Kl

rWdrredalo oiutrrr d TOwil. — Après leur défaite au
sud de Neuville, le 30 mai, les tramait tentèrent hier
une nouvelle percée plut au nord; leur attaque, dirigée
sur un front de deux kilomètres el demi de largeur,
contre nos unifiions entra la rnute de Souchei-Bé hune
el la rivière de Orency, s'eltondra en grande partia déjà
sous notée feu, aver .;n «r.niili^ i>er:es.a I ouest de hou-

Au bois Le l'rétre, not troupet parvinrent 1 reprondre
la plupart de» éléments de irancheei perdue» avant iiier.
L'ennemi aubit de nouveau des perles Iras linpurljfcles.

Sur le» autres parties du front, nuire artillerie réalisa
quelques tuccés appréciables. A la sutle d'un coup qui
noria en plein dans le camp français do Mourmelon le-
tlraod, de 300 » tOO cbsvauï rompirent leurs altactiea et

automobllea a'élolgnèrent au plus vite.
Meuehouid et au nord e«t de Vtrdun des dépûta dv
tlons ennemis sau'èrseL

îordde

donner d'autres dégâts.

TVoVr de la currre d f£i(. — Prés
K kilomètres i l'esl ds Ubsu. notrs cavalerie
lé <t> réaimenl de drsguna rus«e Laos 1*
Sianie, des atleques ennrmlf i acboutreot
' Notre bulio de mai comprend ! au nord
■*l.;00 priemalert, Ifl caonos. *7 mllrsilleusi
el la l'illca. B.94.1 prisonniers. 11 it

rhrdtre de la aiwre au Sid-Eit. — Sur le (root nord
de Prtemjsi. les t*TH 11 ^. lise- lîultuét prêt-de Du*.

Iroupea bavaroises, avec 1.4UO hommet de leur garniaon
restante el une artillerie comprenant deux canons blindés,
1S pièces lourdes el.'ir.aooos légers. Let Russes esaajèrent
d'échapper a leur sort en dirigeant des stiaques en
masses contre nos positions A l'Est de Jaroslaw. Tout
leurs eOorts relièrent sans succès. D'énormes quantité!
de morts couvrent le champ de bataille devant notre
front.

■ La ville de Slry], solidement fortifiée, > été prise d'as-
saut par lea conquérants du Kwinin, appartenant a l'armée
du général vnn Linsicgen : d'à troupes de la garde, des .
Prussiens de l'Est el des l'uméraniens tousla conduite du

Snéral bavarois ceinte Hotlimer ; la poiilion russe près
cette ville et au nurd-ouest a élé perrée. Jusqu'ici
53 officiers, 9,182 hommes lurent laits prisonniers et

BULLETINS OFFICIELS FRANÇAIS

Nuit astec agttéo entra lt mer et Ami.

attaque allemande s tenté de déboucher tur I

rgemsrct i Ypres. Elle.* été irritée nel
Vu nord d'Ablain, les Allemand! ont atttqné d.

■ ii-vîler:

Au nord d'Arrts. oos attaque» c aujourd'hui i
Au oord ojeat d'Aegres. sa (set de 1s fosse 0*1

neml reatstsH députa qulni

nos gsioa. Nos troupes ont ftlt preuve doc courige et d'une
téesclté masniflqtiei.

Lea Allemands ont d'abord contre..attaqué l'ouvrage conquis
par nous au nord-ouett d'Acgret et ont multiplié, pour le
reprendre, des elîorla achmrces. Malgré le bombarde aient
eiceptiuiinellcmcat Intente auquel noua avons élé soumis,
sous avoct girde 1s totalité de noa nouvel lea poa liions.

Noua avona d'autre part, en fin de joureés, occupé presirae

is-mtdl. Non

pris pied

d-est de Lorette et

r,..rlie

deui grostet hombei d'un poids do dis kilos et qualone obut
de ceni cinquante clnq ipoldt quertnte-Irait U!ua).

L'eltlcsdté det oiplnilons a pu être couttttet en plusieurs

s'ïa réserva dslution MemSém Orsnd'-Prlel (nord-ouest

inl-t.i.irntii. i

i.- il.-j:cit d

i la direction de La^llmee, en taliint B*tXSatl

i repris une partie du salllan

route d'Ali-Nnulott.
t prit pied tur dlv
n'a réuttl S réoccu

nom avons prit un

•u nord d'Arn

une des trtnc
„l<tc prlionnl

Ludwlgthtlen,
juie L'Allemagne

En Belgiqi

Dam
par pluileurs

■ svssssHM

combau d srul-
e a été marquée

Les pertes allemandes aont comme hier trèt fort**.

Plua as aud, à l'ett d'Abltln, née attaque (narflqus dte

grande partie d'Ablain, t enlevé lit tranchées ajTemaedaa ta

l'eenem! aélsll puitttcimeol orgioiU Nous avoua ensuite
progrès.* au delà du clmsuere.

V ■,••!<■-• I4.1, ;,a:-r -r-j ;-s o' t:s d cl ;!cit«drs

esMan

Oses la régteo d*Eenrie et de Rocllneourt. très vif cooibtl
d'.rtillene. /

Entre Arraa et lea Vosges. Jooreé* calot

iccéa. Ualtrt
1 de la nuit d
bytère que I

i des prison ni en d'hier soir dépssas ten
rrntj, parmi lesquels aept offleten. Nooa
une dnuisine de mltrallltuiet. Ce matin
In. nous tvoni lait de noovetm prltoni
cntlt psi encore le chiffra eiact, et captu

rdement, tlgnilé hier, d'Ecorle et dt H

nui assalllsnls, L'inlégrallié de nos position
malgré un bombardement continu d'une eiti
Au nord d'Ecurie, dant Is région psrdcu
du • Labyrinthe >, nom avont progressé d

Haye t Norroy : noua avona lait ceat aisquent* prisonnière,
dont pluileurs officiers, et pris uns mllralllsnas.

En Alsace, dans le maaall dn Schcepfenrléth, noua avons
progressé de plusieurs centalnei de métrés.

LA rStHlSOj DE L'ITALIE

On n'i pas oublié le dtsoonrs il pondtéé et al lamie pro-
noncé par le Chancelier de l'Empire sllemsnd. alors que Is
tournure des événements permettait de prévoir la trthlse*
Italienne. En face du fait accompli. M, de Bsthmaen-
llollwej vient de trouver, dus un deuilèms dlaoouie, pro-
noncé tu Relohstag, des asoenta enoere plui etta st pins
lortt dana leur calme el virile ilmpllciu).

Volet Le réquisitoire qu'il prononvs :
Metiieurt,

Lorsque je psrlsl devant vous. Il y a huit |oura, Il na-
tsit encore us* lueur d espoir que I eclree en guerr* d*
l'Iulie pourrait être déjouée. Cet espoir ne a'eat put rés-
ilié H répugnait au atntlaaanl Lia osa od de croir* •
pareille tournure des chou* Maintenant la liouvvn*-
meni Itsllea s lul aéni* Inscrit u inblson. ta lettres
eanglenle* al mm périssables, dans I* Uvr* de l Hwtoir*. Je
crois que c'esi Machiavel qui a dit «s jour qoe inerte
guerre néeaeialr* est )usnf)é*. C*u* guerre était *U*
néoeaaalr* mlm* ace point de vue purement résllsi*,
dégagé d* tout* considération moral* ? .1 M *J* p**
plutol nettement insensée 7

Personne as menaçait l'ILatla, ni l'Allemagne, al l'Au-
Iricbs-IioDBTlé. SaoJ une seule goofts de sang, sans
 
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