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frim : V GtmUMI. — -iMt 5«nriéWM atU II k II* ta rrimiimi : 1» lutlltl

UaiMIU, U S OcMis MSi

Gazette des Ardennes

JOURNAL DES PATS OCODPÉ8 PARAISSANT DEUX FOIS FAR SSMAINB

A NOS LECTEURS I

A plusieurs reprises, des lecteurs nous ont
faù observer que le prix de deux tous pour Ut
< Gazette » avec Supplément leur paraissait
élevé, en raison de ves temps difficiles.

D'autre! nous ont expnmé le désir de voir
paraître le journal plus souvent, dormant ainsi
des informations plus fraîches.

Cette double considération a été le point de
départ de la réorganisation suivante ;

A partir du prochain numéro la « Gazette
doa Ardennes u paraffra

TROIS FOIS PAR SEMAINE
m» lieu de deux fois : à savoir les mardi,
jeudi et samedi.

Nos lecteurs sauront certainement apprécier
les avantages qu'offre cette innovation, qui permet
de vendre A l'avenir la « Gazette »
emprùt d'UJÏ HOU'

(Liste des Prisonniers comprise)

tout en assurant un service d'informations plus
régulier et plus prompt.

LE DOIGT DANS L'ŒIL

Cornait ncerait-on à s'apercevoir, dus le camp îles
Allies, que si U calomnie peut être une arme momen-
tanément efficace, elle est en tout cas de courte portée
et qu'à en abuser on roque de se couper les doigta
ou — la langue?

Toujours est-il que le « Ttmpi » vient de publier
une -Lettre de Suisse* qui est, tous une tonne cour-
toise et prudente, tout un réquisitoire contre la sollise
injuriante de la grande presse boulevardièré et de ses
desservants les plus lameux. Voici quelques rnstagos
aignilkslils de cette petite lejoa de tact :

■ Il ne semble pat toutefois que la discrétion ail
toujours été la qualité1 principale de notre propa-
gande à l'étranger en gênerai el en Suisse en particu-
lier. La plupart de» Français ou des Belges gui, par
la plume eu la parole, ont entrepris de démontrer au
monde la justice de notre, cause, ont généralement
commencé par poser en principe que la présente
. guerre était no conflit deilermination entre deux
cultures inconciliables, desquelles la française seule
était digne de respect, l'autre, l'allemande, n'étant

. ffUUI

e de la harbar

■ iVo-l-on pas eu chez nous nomire de person-
nages auattflé* déclarer la guerre A la science alle-
mande, en allant jusqu'à lui contester toute valeur I
Il est pottible que cet violences de langage n'aient eu
fuc peu d'ineanuénienls sur un certain public; mais
ca qui est incontestable, c'est qu'elles ont produit le
plus déplorable effet sur les hommes cultivés de la
Suisse alémaniste (ainsi du reste que dans beaucoup
de milieux des Pays-Bas et des Etats Scandinaves}.

. II eût été difficile en effet de trouver une plus
mauvaise base de discussion avec les professeurs des
unipenilé» (uissea dt langue allemande et leurs élè-
ves, que celle qui posait d'abord en principe la bar-
barie de leur propre culturel Cette erreur de tactique,
je'ude à faculté de la crise intérieure de la politique
helvétique, suffisent & expliquer certains incidents re-
tentissants, que nous ne saurions considérer comint
des succis.

■ Des conférenciers se sont vu interdire la parole
pour n'avoir pas voulu soumettre leur texte à la cen-
sure préalable; d'autres, après avoir annoncé un sujet
de tout repos ou fait des promesses de modération,,
as aoal laissé entraîner dans leurs improvisations 4'
1rs lier avec passion des sujets brûlants...

■ Les eonseilt fort tages donnés à ce point de vue
par reminent ambassadeur de France à Berne sont
restés lettre-morle et n'ont eu" d'autre résultai que de
faire reprocher « ce dernier sa medérafion par. Us
enauoins exaltes ou le* francophiles à outrance.., »

En termes plus cru» : l'eultur de celle lettre, U.
Jacques de Dampierre, dit k aes compatriotes français
Bu'm publiant certains! brochures qu'il qualifie lui-
même de a déclamatoires », et qui débordaient ds
naine ridicule et d'outrageante calomnie,, ils se sont
(nia le doigt dans Tasii.

C'est que l'ignorance bornée avec laquelle le) jour-
saintes boulevardiers ont coutume de causer de tout,,
al de préférence de es qu'ils ignorent le plus complè-
tement, n'est pu considérée psrtout comme une
vertu. Il j a en Europe des peuples neutres qui een-
■oi'sient l'Allemagne et euiquels U phraséologie;
ereuse d'un* certaine • propagande orduriire A ~m
r«pilbéU est d'un savant suies* — m saurait es im-

»• au, ce* peuplée, U loisir de réfléchir a)
regarder. Ha ont vu le peuple «iWifnd debouf
tra no moavda d'en nés» èa^ Méprisant toute grandi-
' * parlant que I* sebra tangage de l'ac-

tion. Leur jugement e eu te temps de morir et de set
préciser. Le correspondant du Temps « sent fort
bien que ces Neutres clairvuy&nls et justes — qui
forment la graode majorité dé la notion suisse, part
•semple — no se méprennent pas, en dépit des tria-
de victoire de plus en plus puérils, dont les avocats
de Is Quadruple-Entente î'oiToreenl de couvrir !• i
sobre et implacable langage dis fa ils, sur la force té.
là valeur du peuple allemand et sur son invincible t o-'
lonté de livre II écrit i ce sujet quelques lignes fort
carselériitiques. I es voici ;

■ ...Mais ils {les Suitiri) n'ont pas confiance dons
facenlr de la France, t.a terrible différente de nata-
lilè des pays QermannjUis et du nôtre leur tuflit déjà
pour prédire à l'Allemagne, fût-elle (Mineur, des ten-
de-.ers de revane'ie frismp/iafr; et malheureusement
la Suisse elle-mime est ici d'un triste exemple, puis-
qu'en ce paya prospire et de population croissante, la
proportion des éléments romands fléchit depuis vingt
ans, la natalité d Cenéie étant mtme récemment fam-j
bée au-dessous du chiffre des décès 1 La sympathie
traditionnelle des vieux Suisses pour la Fronce se
nuance donc malgré toul de pitié. ■■

Ces senlînicnls ne sont, sons doulc, pas ceux qu'es-
comptaient les matadors de U presse parisienne, par-:
lis, il j a un an, 4 la conquête de Berlin — et de In
Lune. Mais leur sincérité donnera peut-ûlro h réflé-
chir i ceui des Français qui ne sont pis atteints de
la mégalomanie furibonde qui sévit dans les rédoc-'
lions boulevard i<'res el dans les cabinets de travail —
n tranchées d'arrière » — de certains académiciens.

Au dernier numéro de la t GtKélté », nous citions
cette phrase b l'adresse de certains Neutres, qui se
trouve dons le « Petit Journal » du 8 scpLmbre :

■ La conduite de certains d'entre eux n'est qu'une |
spéculation lucrad'oc sur notre défaite finale. A ceux-'
la, il cont ient d'inculquer avec toule l'énergie possi-■
ble la cornichon 711e c'est nous qui serons les vain-'

Dans celle phra-c injùnio lient tout le programme;
de celle propagande loilamcal iendaucie-se et Irop
souvent mensongère don! M. Jacques de Dampicna'r
«igntle les malencontreux effets.

A force de vouloir faire apercevoir a. quelqu'un qui
voit clair des choses qui n'eiisten't pas, 011 Unit par M
mettre le doigt dans l'œil. j

IIUHl\S Offlflïtë ALLMUMS.

Grand Quartier général, le M tepwaibro lia.
Théâtre de la guerre à l'Ouest.

Le» tentatives ennemies de percer no» lignes furent
continuées avec acharnement dans tes montes, secteur»
d'attaque que jusqu'ici.

Une contre-attaque, mivanl une attaque anglaise
avec gai, laquelle avait encore échoué, amena ta
reprit* d'une partie du terrain abandonné par noua au
nord de Looe. De violentai attaques anglaises, débau-
chant de la contrée de Looa, a'écroulèrent avec de
lourde» perles. Des attaques françaises acharnée»,.
plusieurs fol» reprise» dans la contrée Souchei-Ncuville
furent repoussé*», eu partie par de vigoureuses.

En Champagne toute» Ica IcnUlivea de percée,
ennemies reitèrent également uns succès. Leur
□nique résultat consiste dans le fait qu'au nord-ouest
de Souiin, aur une largeur de 100 mètres, l'ennemi
c'a pas encore pu être expulsé d'une de nos tranchées, '
Le» vague» d'auaut françaises, affluant tans cesse, se
brisèrent contre l'implacable résistance de bataillons
badoia, ainsi que du 65* régiment rhénan de réserve
■t du iSS- d'infanterie (de Weitphalie).

Les lourde» perte» que l'ennemi aubit lora de
i'assaut maintea foi) répété contre les baulcura de
Masaigcs furent valnei. Le» hauteur» sont entièrement-
restée» aui mains de noa troupes.

Le» tentatives françaises de reprendre lei tranchées ■
perdue» près da Fille Morte échouèrent. Le nombre

£1 Flandre deux avions anglais furent aballua:,
ceux qui lea montaient sont prisonniers.

Théâtre de la guerre i l'Est.
Croupe d'armée du /(Id-maréchaf von Uindenburg.
L'attaque au aud-oueat de DOnaburg a progressé
Jiuqu'à la hauteur du lac de Sweolcn. Au sud du lue
(ta brviwjatv et pria da Posta wy lea rencontres de >
cavalerie continuent. Après avoir secondé efficace-
ment lea opération» de l'armée du général von Eich-
horn par une poussée contre le flanc de l'ennemi, notre
oavaleris a abandonné la contrée près de WiJejka el à'
l'eat da cet endroit, fadvertalre resta inactif. A .
l'ouest de Wilejka dea colonne» ennemie», a'avançanl
Imprudemment, furent ditpcraeei par le feu de notre ■

a troupe» avancent

Croup* d'armie da général von Lfnitnoen. ■
Isa Busse» sont rclclti dcrriirc'lc ïorniin et la
rBtllowka*

IMttre de la guerre i PObmL

L'ennemi ne renouvela hier qu'en Champagno ses
tentatives de percer notre front.

Au lud Je la roule de Mmni Yprcs. une position
occupée par di un cunipjg^"-» Jiiylaises tut dflfuils
par un coup de mine.

Au nord de Loos notre conlrc attaquc progressa
lentement. Au sud est de Souilici 1rs Funço;s pariin-
renl i pénétrer dans nos lignes en dcui poïuts de petite
étendue ; ici le combat continue, L'nc attaque partielle
foutaise au aud d'Arrea fut facilement repoussée.

Eolre Reims et les Argonr.cs I- s combats furent
acharnée

Au aud de ftcMario * Py une brigade ennemie
perça la ligne de nos tranchées les plus avancées et
trouvo devant elle nos réserve) qui enlevèrent 1 l'enne-
mi, dans mie eonlrc altaqu/-. Nuu prisonniers et auéan-
llreot le reetc loutis lis ..it.iqur» tian(a«scs entre la
route do Somme P; Sonain cl la vole ferrée de Cballe-
range-Sointe Menéliould fureot repous.*fc» hier, en
pailie dans d<"» Corps-4 corps acharné», avec de lourdes
perles pour 1'cnnrmi, Ce malin une forte attaque
ennemie s'écroula aur le front au nord-ouest de Mas-
aiges. Au nord de Massigcs b hauteur 191, très ex-
posée au feu de Oanc de lennemi. a été perdue.

Sur tes autre» fronts, lutte d'artillerie et do mine»
plus ou mo,n» violente.

Théâtre de la guerre à l'Est.
Croupe d'armée du feld-maréchal von Uindenburg.

Au aud de Dfinaburg, l'ennemi est refoulé dans les
étroits passages entre les lacs i l'est ds Wcssolowo.

Les combats de cavalerie entre Drstsw)al; et la
contrée de PsMtBWJ tournèrent à l'avantage de nos di-

A l'est du Sinorgon la position ennemie esl enfoncéa
d'assaut; nous avons fail 1000 prisonniers, dont 7 offi-

Au sud de Smorgon le combal continue.
Croupe fermée du feld-marUhal Prince Léopold
de liai)iirc.

De» attaques partielles de l'ennemi eonlrc de nom-
breux secteurs du front furent rrpoussée» avec des
perles sanglantes.

Croupe d'armée du feld-maréchal von ifocJiensen,
La situation csl sans changement
Croupe d'ormee1 du général von Linaingen.
Au cours supérieur du Karmin, les Busses furent
rrjclés dans U direction Est. Environ Soo prisonniers
ont W faits. Deux avions russes furent aballus.

Grand Qutrlicr (entrai, la 1* oclobn 1013.
Tfu'dlre de ta f/uerre d l'Ouest.
Dca moniteurs ennemis honibaidèrenl sans succès
les environs de Lomburtzydc et de Uiddelkerke.

Lea Anglais ne tentèrent hier aucune nouvelle
attaque. Au nord de Loos nos contrc-altaqucs con-
tinuèrent i progresser, malgré une violente résistance

1 lance-mines tombèrent enlro nos mains.

Des tentatives françaises pour fc-.igncr du terrain 1
l'est de Souchei cl au nord de .Neuville échouirenl.

En Champagne une attaque ennemie, entreprise
avec d'importantes forces, échoua i l'est d'Aubérive.
Toutes les allaqucs françaises au nord-ouest do Mas-
sigea, auxquelles participèrent des contingents appar-
tenant à 7 divisions différentes, eurent le même in-
aucces. Le chïjfre des prisonniers faits jusqu'ici lors
des attaques en Champagne s'est accru à fO» oj/ieien
M 70tS hommes.

Des coups de mines efficaces d-lOriorèrenl la posi-
tion française près do Vauqois.

Dea aviateurs français burnli.-irdèrcnl llénin-Lié-
tard, luanl huit civils français, tandis que noua n'avons

Thédfre de fa guerre à t'Est.
Croupe d'armée du feid-moréchal won /findenourp.

A l'ouest do Dûnaburg, près de Grendsen, une nou-
velle position de l'ennemi fui enlevée d'assaut; dan»
dea combats i l'eat de Madiiol ainsi que sur le front
entre Smorgon et Wichnew, des allaqucs russes
a'écroulèrent avec de lourdes pertes pour l'ennemi.
Le groupe d'armée fil hier 1360 pruonnnien.

Croupe d'armée du générai von Linii'ngen.
Ptolro ellaquc progresse.

Le chiffre du butin en prisonniers et en moléiiel,
pris aux Musses lu courant du mois de septembre par
les truupcs allemandes à l'Est, e«l de :
éîl officiera,
9G,4t>4 hommes,

BlUEuffi OFFICIELS UlUMIs

les secteur» de Souebei el do
«tuvins. L'anneau s lancé'aur Arras il Isa anvirooa daa
otiua In c en di air ta qui ont allumé pluaiaura foyer» raptdav

t ulle i coups tt bombes al d« gteaties dons la région (ai

En Champagne, canonnads réciproque, particulière m enl
activa dans la région d'Aubérive tt sur laa connn» 4»

. Entra Meuse al Mostli», nos batteries onl énergi-
qaemenl contre-batlu celles dt l'ennemi, tandl» qut sa pour-
luiïail une lutte continus S coupa Ce bombes al da torpilles,
psrlkuMremenl an forêt d'ApremonL

Sur 1* front de Lorrains, noua avons etflcacemenl bom-
bardé lta positions si Its ouvrages allemands au nord
de Noménjr, sut les bords, d* U Loulre-Noire al dans les
régions d'Embermenil, Leinlrej, Gondreion at Domcvra.

Nous avens fait nploser utilement quelques mines dans
les Vosges, au nord ds WUsembach.

BCcMa au cours ds U nuit
n tndonimagé aur pi us leur»

ise al réciproque dans la région ds
nu je it uaus ctue us sjueooevieres

Ko Ctiampagnt. l erxenil a encore S.:.£' daa Hra d'obus
sultucants aur nos posîtlooa au nord de Salai-Itdalre, ds
Souola, de Pertbe» «t da Be»usé-jour.

Nclrs artillerie a répondu pu un bombardemenl éoer-
; al -.'je daa tranebée», loruos el csntonncmanls
s.. :r

a^r an grand nos-.br* de pcsr.'s e; i.s|.euA in -.rovoi.legra
qui leaiaienl da rtpartr Isa trac^ea cause» par noir» lta.

Latte à coupa da bombe a, da grenade» à Vaoquota.

En Lorraine, ! attaques ennemies onl élé lenlées : l'un* '

Iranchéat au nord ds Bures.

Toule» deui «ppuyies par un» violente canonnade aveo
emploi a'obuj lacrymogènes onl été compleiement repou»- .
téea par noa feui d'infanttris al d'arlilleno.

Quelques tombals rapproebés « coups .de fusil et dt
pèleras s^r [e? L.Liiieurs du Linge.

Paria, îl seplembro 1015, soir.

■LVjlsoaml a bombardé au|ourd'hui nos tranchées pre's do

[.1 Ari-iJs, nicmt aclïvité dt l'arlillerî* da part al
d'aulre : le teu de nos pièces lourde» a déterminé l'explosion
û'uii inipnrianl dépôt de muntlions près de Ttièlus.

Quelques obus de gros calibres onl élé lance» »ur Arraa.

Enlro Somme si Oiae, ver» Canny-sur-Mati et BeuvrpiB-

u plusieurs poinls de

a. tt. démoli un

imia a Nontard
s la aecleur da Bt
assef active en Lcrraine, où noi
endommagé des organi

Nos balierirt cm énergiquemenl riposté' et pris, sur un
grand nombre de poinls, 1'intllAtlve du Jeu.

Canonnade réciproque toojour» interne au nord 4a

En Champagne, l'ennemi a répondu t un violent bom-
bardement dt ses tranchées si ouvrages ptr dea lira d'obua
sulloeanta aur La région d'Aubtrive <l da Sain 1-Hiltire.
Ses Urs n'onl produit aucun rétultat

l'artillerie de

,0 bois'u Prélre. P
En Lorraine, nos patrouille»

s el dt grenade»
ené qnelque» pri-
nouvelle sltaqut allemande près d» Manboué a ilt

IttS.at

Sablons, à Meir, une quaronlttne d'ebua.

mi.Tïaatiiasfti
Sur la cdla de ficig.qua, no» balleriea ont coopéré la

mande» de Wesltods el dt Mlddtlktrkc. ^

Las troupes britanniques ont attaqué avec aucefs lts

positions ennemies I l'ouest d* Looa et d'Hulluch.

Noa troupes, opérant en liaison avie l'armée brltanut-

qne. ont prononcé, au nord d'Arras, une allaqu* énergique

qui leur a permis d* prendre pied sur plusieurs poinls de»

,1k"eoI""'somme et l'Alan» combats à coupa da torpQlts

etirllerie a tait etploser un dèpol de niuniliun» dana une
in son loililiée de Btuvraignt».

En Champagnt, après un nouveau *t très violant bom-
bardement de» Iranebits, abris, blockhaus et batlerlet
ennemis, nos troupes d'infanterie sont parti*» k l'assaut daa
lignes allemandes entra la Sulppa el l'Aisne. Le» pre-
mières positions adverses ont été occupée» aur la preaque
toiiiiiie Un fruni d'niiiqm, Noire prognaalon te pauraulk

Luit» d'trtillertt en Woevre, en Lorraine at dana lea
Vosgta, aui environ» de la Cbaptlolta tt <n Ëehrati-

Ftris, H iDpuiubrt mil. S ïeurei.

le» poailiana conquises later, coco prisant la chttefj 1
Carleul, le clmtlièrt dt Souchtt tl las dernièrt» tr»ich*<
que l'ennemi occupait encor» à l'aat dt la potltlon fortitii

En Champagne, dea tombal» oplDléliu sa sonl pou
suivi» tur toul ta front

Noa trouptl onl ptnèLré dan» lit ligna» alltmandit 11
un Iront da 19 kilomètres il tur un* profondeur variant 1
1 k 4 kilomètres.

Elles ont, au cours dt la nuit, maanlsoe toutes les poi
lions conquises,

La nombrt dti prisonnier» actuellement déaomhri
deptsaa 18,000 nommta.

Rien k aigoalar tur la rtat* do Iront, d es n tsl ui
aclion d* surpris! d* nclrs artllliria sur la* ouvrages au
rnssat» ds la réflon 4s Launol». dsn» U Bau-dt-Sapi.
 
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