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LE BOUDOIR
MARQUISE DE SERILEY
AL' MUSEE DE SOUTH KENSINGTON
Jamais l’intérieur des demeures privées
ne fut plus luxueux, jamais plus de richesses
n’y furent prodiguées à pleines mains que
durant les jours qui précédèrent la Révolu-
tion. Nobles et grands financiers se piquaient
d’émulation pour satisfaire aux ruineux ca-
prices de femmes dont il faut généralement
chercher les noms dans les rapports de la
police, rapports où sont consignées les folles
dépenses que les filles célèbres faisaient
alors pour leurs mobiliers. Mais le faste
dénué de goût qui est aujourd’hui courant
était chose inconnue à cette époque, et un
danseur de ballet aurait marqué son mépris
devant des présents pareils à ceux que nous
SF'llljirU!|l lin' i'5'i;
niQ Ulllll I II tl I IJR( -
LE BOUDOIR
MARQUISE DE SERILEY
AL' MUSEE DE SOUTH KENSINGTON
Jamais l’intérieur des demeures privées
ne fut plus luxueux, jamais plus de richesses
n’y furent prodiguées à pleines mains que
durant les jours qui précédèrent la Révolu-
tion. Nobles et grands financiers se piquaient
d’émulation pour satisfaire aux ruineux ca-
prices de femmes dont il faut généralement
chercher les noms dans les rapports de la
police, rapports où sont consignées les folles
dépenses que les filles célèbres faisaient
alors pour leurs mobiliers. Mais le faste
dénué de goût qui est aujourd’hui courant
était chose inconnue à cette époque, et un
danseur de ballet aurait marqué son mépris
devant des présents pareils à ceux que nous
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