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https://doi.org/10.11588/diglit.9757#0752
OVULES.
Nombre des ovules sur chaque placenta. — Que les placentas soient
pariétaux ou axiles, le nombre des ovules que porte chacun d'eux varie
beaucoup. Ainsi dans les Auranliacées , les Oxalidées, les Loasées, les
Yiolariées, les Myrfacées, etc., ils sont en nombre indéterminé. Dans les
Diosmées et les Hippoeaslanées , au contraire, on n'en compte que deux,
et dans les Ltizules , les Polygalées, les Trémandrées, etc., jamais qu'un
seul.
Plusieurs ovules sur chaque placenta, — Lorsque les ovules sont en
grand nombre , ils sont tantôt sur deux séries longitudinales, et tantôt sur
plus de deux séries.
Dans le premier cas, ils sont le plus souvent horizontaux, ceux d'une
série tournant le dos à ceux de l'autre série, de façon que les raphésdes
uns soient contigus aux raphés des autres s'ils sont anatropes, ce qui est
l'ordinaire. Dans le second cas, leur position varie trop pour qu'on puisse
y apercevoir quelques règles.
D'un autre côté, ils n'apparaissent pas tous en même temps, et leur ordre
d'apparition est subordonné à la nature et à la forme des placentas. Ainsi :
Naissent-ils sur un placenta central, comme dans les Primulacécs, ou
sur des placentas axiles, comme dans les Mesembryanthemum, ils se
montrent alors successivement du sommet à la base, e'est-à-dirc que les
premiers nés sont en haut et les plus jeunes en bas.
Naissent-ils sur des placentas pariétaux, comme dans les Violettes, ils
apparaissent, au contraire, de la base au sommet, c'est-à-dire que les plus
âgés sont en bas cl les plus jeunes en haut.
Naissent-ils sur des placentas axiles à la base et pariétaux au sommet,
comme dans les Orangers , les plus âgés sont alors à mi-hauteur au point
de réunion des placentas axiles et pariétaux, et les plus jeunes aux deux
extrémités supérieure et inférieure.
Deux ovules sur chaque placenta. — Lorsque les ovules sont au nombre
Nombre des ovules sur chaque placenta. — Que les placentas soient
pariétaux ou axiles, le nombre des ovules que porte chacun d'eux varie
beaucoup. Ainsi dans les Auranliacées , les Oxalidées, les Loasées, les
Yiolariées, les Myrfacées, etc., ils sont en nombre indéterminé. Dans les
Diosmées et les Hippoeaslanées , au contraire, on n'en compte que deux,
et dans les Ltizules , les Polygalées, les Trémandrées, etc., jamais qu'un
seul.
Plusieurs ovules sur chaque placenta, — Lorsque les ovules sont en
grand nombre , ils sont tantôt sur deux séries longitudinales, et tantôt sur
plus de deux séries.
Dans le premier cas, ils sont le plus souvent horizontaux, ceux d'une
série tournant le dos à ceux de l'autre série, de façon que les raphésdes
uns soient contigus aux raphés des autres s'ils sont anatropes, ce qui est
l'ordinaire. Dans le second cas, leur position varie trop pour qu'on puisse
y apercevoir quelques règles.
D'un autre côté, ils n'apparaissent pas tous en même temps, et leur ordre
d'apparition est subordonné à la nature et à la forme des placentas. Ainsi :
Naissent-ils sur un placenta central, comme dans les Primulacécs, ou
sur des placentas axiles, comme dans les Mesembryanthemum, ils se
montrent alors successivement du sommet à la base, e'est-à-dirc que les
premiers nés sont en haut et les plus jeunes en bas.
Naissent-ils sur des placentas pariétaux, comme dans les Violettes, ils
apparaissent, au contraire, de la base au sommet, c'est-à-dire que les plus
âgés sont en bas cl les plus jeunes en haut.
Naissent-ils sur des placentas axiles à la base et pariétaux au sommet,
comme dans les Orangers , les plus âgés sont alors à mi-hauteur au point
de réunion des placentas axiles et pariétaux, et les plus jeunes aux deux
extrémités supérieure et inférieure.
Deux ovules sur chaque placenta. — Lorsque les ovules sont au nombre