Inedite. Ëï
ds èxécuter yôtre commission, et de revo^
ler a moi. Je voudrois que yous eussiez
le chapeau de Fortunatus; c’est la seule
chose qu’on puisse vous souhaiter.
Adieu, cher Cigne de Padoue. Pensez,
je vous prie, quelquefois à ceux qui se
font échiner ici pour la gîoire, et sur tout
n’ oubliez pas vos amis qui pensent mille
fois à vous.
■*o*o *c*o*o*c*o*o*o*o*o*o*
XXI.
au camp de Hermsdorf ce 15 de Juin iy4*.
jN/Ton cher Algarotti, je vous attends avec
bien de l’impatience, plus aise de vous
posseder comrae ami, que de recevoir de
vos lettres comme ministre . Vous êtes à
présent à Lyon où je vois vôtre esprit en-
richi de tout ce que l’ industrie des ma-
nufacturiers a produit de rare et d’ utile
dans cette ville. Je ne sais pas trop ce
que l’on dit de moi en France, mais tant
sais-je bien que ma réputation ne flaire
D 2 pas
ds èxécuter yôtre commission, et de revo^
ler a moi. Je voudrois que yous eussiez
le chapeau de Fortunatus; c’est la seule
chose qu’on puisse vous souhaiter.
Adieu, cher Cigne de Padoue. Pensez,
je vous prie, quelquefois à ceux qui se
font échiner ici pour la gîoire, et sur tout
n’ oubliez pas vos amis qui pensent mille
fois à vous.
■*o*o *c*o*o*c*o*o*o*o*o*o*
XXI.
au camp de Hermsdorf ce 15 de Juin iy4*.
jN/Ton cher Algarotti, je vous attends avec
bien de l’impatience, plus aise de vous
posseder comrae ami, que de recevoir de
vos lettres comme ministre . Vous êtes à
présent à Lyon où je vois vôtre esprit en-
richi de tout ce que l’ industrie des ma-
nufacturiers a produit de rare et d’ utile
dans cette ville. Je ne sais pas trop ce
que l’on dit de moi en France, mais tant
sais-je bien que ma réputation ne flaire
D 2 pas