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Înedïte.
égale maintenant les plus grands d’ Athe-
nes par ses écrits. Piien de mieux raison-
né, de plus varié, de plus rapide que îe
corps de l’ouvrage; rien de plus beau que
V introduction et la conclusion. G’ est un
édiiîce admirabie orné d’ une superbe fa-
çade, et dont le fond de la cour est dé-
coré par de somptueux porüiques. Résse-
xions, comparaisons, tout est de la dernie-
re justesse, de la premiere beauté. L’eru-
dition fortisie le raisonnement, et on y
goute les fruits sous l’agrément des sseurs.
Le conquérant de la Silésie, le législateur
de la Prusse, 1’ architecte de Sans-souci,
le compositeur des plus beaux airs de mu-
sique, le philosophe le plus élégant, le
poéte le plus raisonnable ; enfiti le prince
le plus humain et le plus aimable du sie-
cle ; tout cela est peint dans cet ouvrage.
Ge que V. M. dit du progrès des beaux
arts dans le Nord, elle le veriiie. Un
dieu qui prophétise, accompîît en même
tems ses oracles.
Înedïte.
égale maintenant les plus grands d’ Athe-
nes par ses écrits. Piien de mieux raison-
né, de plus varié, de plus rapide que îe
corps de l’ouvrage; rien de plus beau que
V introduction et la conclusion. G’ est un
édiiîce admirabie orné d’ une superbe fa-
çade, et dont le fond de la cour est dé-
coré par de somptueux porüiques. Résse-
xions, comparaisons, tout est de la dernie-
re justesse, de la premiere beauté. L’eru-
dition fortisie le raisonnement, et on y
goute les fruits sous l’agrément des sseurs.
Le conquérant de la Silésie, le législateur
de la Prusse, 1’ architecte de Sans-souci,
le compositeur des plus beaux airs de mu-
sique, le philosophe le plus élégant, le
poéte le plus raisonnable ; enfiti le prince
le plus humain et le plus aimable du sie-
cle ; tout cela est peint dans cet ouvrage.
Ge que V. M. dit du progrès des beaux
arts dans le Nord, elle le veriiie. Un
dieu qui prophétise, accompîît en même
tems ses oracles.